Déclic : "ce moment où tout bascule" - tootak - – Details, episodes & analysis

C’est la 68ème de Déclic et lorsque j’ai rencontré mon invité du jour, il faisait 37° à l’ombre nous étions à Vaison la Romaine et le chant des grillons était plus présent que le bruit des vagues sur la coque que nous entendons bien ce matin avec le trafic de la Seine. 

Je m’appelle Pierre, et suis le fondateur de tootak du groupe KEA qui crée des podcasts dédiés à la formation et la communication par la voix et produit « Déclic : Ce moment où tout bascule ». 

Pour cette rentrée j’ai le plaisir d’accueillir dans le fauteuil à côté de moi Sébastien Zanello. 

Bonjour Sébastien, 

Tu vis aujourd’hui dans le Lubéron où tu as tout l’espace souhaité pour déployer tes sculptures monumentales, ces cubes en acier, tendu au bout de ligne dont on peut faire le tour pour voir la vue qui se crée sous chaque angle… mais ces cubes parfois recouverts d’or jouent avec des lignes bleues, tout aussi tendu. Architecture d’extérieure, construction d’espace en creux, les 10 ans que tu as passé dans ton premier métier d’architecte ont laissé des traces. Cette précision monumentale, on les retrouve dans tes dessins plus petits qui jouent avec les ombres et les perspectives. Tu exposes en France, en Allemagne, au Japon et tu es rentré dans des collections privées. 

J’ai une première question à te poser, est ce que tu pourrais nous parler d’une de tes œuvres que tu as peut-être vendues mais qui t’a particulièrement marqué, est ce que tu pourrais nous la décrire ?  

Bonne écoute :)

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C’est la 67ème de Déclic et il est 9h00 du matin ce dimanche. Hier, c’était l’été indien, lunette de soleil, transat et lecture, ce qui est l’un de mes sports favoris … et vous allez vite comprendre pourquoi. 

Je m’appelle Pierre, et suis le fondateur de tootak du groupe KEA qui crée des podcasts dédiés à la formation et la communication par la voix et produit « Déclic : Ce moment où tout bascule ». 

Pour cette rentrée j’ai le plaisir et l’honneur d’accueillir dans le fauteuil à côté de moi Guillaume Martin. 

Bonjour Guillaume, 

Tu as fini 10ème du tour de France 2023 et 8ème en 2021 et ton parcours de cycliste professionnel te fait passer par toutes les routes de France, d’Europe et d’Asie où tu collectionnes les places de vainqueurs ou d’honneurs au sein de ta formation COFIDIS.  

Dans les années qui précèdent ton passage en professionnel en 2016 tu as dû faire face à la difficulté de mener des études supérieures, un master en philosophie et de s’entrainer au plus haut niveau amateur. Ces études te donnent le goût de l’écriture et tu publies ton 1er livre remarqué Socrate à vélo, puis deux autres. Ton équipe a eu la gentillesse de me faire parvenir, vendredi, le premier… d’où ma lecture du samedi mais avec 220 pages, je n’ai pas eu le temps de finir pour ce matin. J’espère que tu ne m’en voudras pas ? 

J’ai une première question à te poser : est-ce que tu es satisfait parfois ? car je lisais dans ton livre que tu es un compétiteur et un compétiteur n’est jamais satisfait, non ?

Bonne écoute :)

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Lors du dernier podcast de la semaine dernière je vous disais qu’il y avait un bruit de cri de canard qui nous perturbait. Pas du tout, c'était une poule d’eau qui a fait son nid sur l’ancre et qui criait à tue-tête…Et ça continue !

Je m’appelle Pierre, fondateur de tootak qui crée des podcasts dédiés à la formation et à la communication par la voix et produit “tootak, ce moment où tout bascule”.

C’est Mikaël Lemarchand qui m’avait recommandé de recevoir mon invité, Patrick Mathieu, Bonjour Patrick et merci à toi, Mickaël, de cette mise en relation.

Je pourrais ne dire qu’un mot pour te présenter, le mot “singularité” tant lorsque l’on se montre curieux de ton parcours, il est omniprésent. Tu as construit une démarche de questionnement puis de construction de la raison d’être d’une entreprise autour de ce concept que tu nous présenteras au cours de cette demi-heure. Tu es à la tête du cabinet de conseil qui porte ton nom. Mais il y a aussi, l’art contemporain qui semble tenir de la place dans ta vie.

Ma première question va à l’observateur des dirigeants d’entreprises. La France est la lanterne rouge des salariés dans leur entreprise selon un sondage Gallup de 2021 en termes d’engagement des salariés. Est-ce que tu crois qu’il y a un lien entre ce score et la posture des dirigeants français ?

Merci Patrick pour ce moment.

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Il est 18h00, à force de pleuvoir, les réservoirs en amont de la seine ont bien dépassé 80% de taux de remplissage… comme en juin 2016, on va finir par avoir une belle crue. 

C’est Patrick Souillot qui est aujourd’hui assis à côté de moi, si nous sommes réunis, c’est grâce à Benoît Gajdos, dirigeant d'un cabinet de conseil, dont le nom est CO.

Patrick, tu es un transmetteur de passion, une passion vive qui t’habites depuis l’âge de 6 ans, la passion de l’opéra. Tu fais des études académiques au conservatoire et tu te formes à la direction d’orchestre auprès de Léonard Bernstein. 

Tu vas alors diriger des orchestres prestigieux dans le monde entier mais aussi tu crées une académie singulière, un orchestre particulier, la Fabrique Opéra à Grenoble, ville dont tu diriges la formation universitaire depuis 1989. Ton projet, que tu as initié en 2007, consiste à faire rayonner l’opéra au-delà des cercles habituels, particulièrement auprès des jeunes et tu as pu toucher plus de 70 000 spectateurs avec des opéras comme la Traviata, La flûte enchantée, Carmen ou Nabucco.

J’ai une première question pour toi : comment tu donnes ta propre patte à la création de la Traviata par exemple, un opéra présenté de multiples fois. Quelle empreinte donne un chef d’orchestre à un opéra ?

Merci Patrick pour ce moment.

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Il est 18h00, une heure tardive pour l’enregistrement d’un déclic, ce qui nous permettra de passer directement à la dégustation d’un petit Languedoc…

Je m’appelle Pierre, fondateur de tootak qui crée des podcasts dédiés à la formation et la communication par la voix et produit « Déclic : Ce moment où tout bascule ».

C’est Nicolas Legras qui est aujourd’hui assis à côté de moi, et je n’ai pas le temps de vous détailler les 56 dates qui séparent la naissance le 6 juillet 2012, d’un blog qui ne s’appelait pas encore « Les Others » du 10ème anniversaire du magazine, l’année dernière. 

Vous pouvez retrouver ces 10 ans dans les 450 pages d’un livre, une reprise de textes et de photos entièrement reconfigurées.

Nicolas est l’un des piliers de cette aventure, un des co-fondateurs qui comprend aujourd’hui, un magazine bi annuel, un podcast “les baladeurs” qui en est à la 63ème édition, et encore plus récemment, un objet hybride qui est à la fois beau et précieux, la boîte “Recto Verso”, un condensé de découverte de la France en vélo et à pied, une carte, un guide, des conseils, une aide à se prendre en main pour parcourir notre pays.

J’aimerais en guise de 1ère question te demander le fil conducteur de cette aventure, qu’est-ce qui t’as poussé et amené à faire peu à peu ces choix tout au long de ces 10 ans ? 

Merci Nicolas pour ce moment d’aventure.

Bonne écoute :)

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Il est 18h00, il fait jour, on a passé le changement d’heure, cela sent bon le printemps. 

C’est Nolwenn Febvre qui est assise à côté de moi, toujours devant le poêle à Bois qui va ronfler encore pendant quelques déclics. Si nous sommes réunis, c’est grâce à Benoît Gadjos, dirigeant de CO, merci Benoît.

Nolwenn, tu es une infirmière anesthésiste en bloc opératoire en pédiatrie au CHU de Rennes, c’est au bloc et dans la salle de réveil que tu es confrontée à la détresse des enfants pré ou post opératoire.

Tu commences à t’impliquer dans la résolution de cette souffrance en créant en 2011 l’association “les P’tits Doudous” que tu présides. Elle a pour objectif de diminuer l’anxiété et d'améliorer le vécu des enfants opérés et de leurs parents, en leur offrant des doudous et en développant des actions innovantes. Rennes et les 110 autres associations locales permettent de toucher + de 100 000 enfants par an.

Tu nous expliqueras plus tard comme dans le principe de l’économie circulaire, 193T de déchets recyclés en 2021, tu finances une partie de ton association et toutes les innovations que tu as mis en place, notamment le jeu “le héros c’est toi”.

J’ai une première question pour toi, cela fait 12 ans que tu as créé les petits doudous, comment tu gardes une motivation au sein d’une association bénévole ?

Merci Nolwenn pour ce moment.

Bonne écoute :)

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Lorsque l’on se réveille, maintenant il fait jour, des airs de printemps se glissent entre les frimas nous allons discuter sans le feu de bois et avec du soleil.

C’est Mikaël Lemarchand qui est aujourd’hui assis à côté de moi, bonjour Mikaël ! 

Mikaël Lemarchand qui est assis dans le  fauteuil à côté de moi, c’est Guillemette Jacob, reçu dans Déclic voici 6 mois, qui me l’avait chaudement recommandé. Merci à toi Guillemette ! 

Tu es aujourd’hui membre du Comex de la SNCF, directeur de l’engagement social, territorial et environnemental et vice-président de sa fondation. Auparavant tu as de multiples fonctions dont celle de directeur d’Eurostar France, tu as été chez Kéolis et ce parcours qui te mène au cœur d’une entreprise qui est chère aux yeux des français m’amènent à te poser ma 1ère question.

As-tu une affection particulière pour le transport, le train, est-ce l’objet, ce qu’il véhicule dans l’imaginaire ? Qu'est-ce qui te rattache à ce métier ?

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Temps merveilleux ce matin, froid certes mais il y a une légère brume qui court au-dessus de l’eau et cela a quelque chose de féérique.

C’est Franck Billeau qui est aujourd’hui assis à côté de moi, devant la cheminée qui ne ronfle pas pour l’instant, bonjour Franck ! Si nous sommes réunis, c’est grâce à Benoît Gadjos, dirigeant d'un cabinet de conseil, dont le nom est CO.

Franck, tu as construit un parcours peu banal, qui démarre dans l’électrotechnique par un BTS et qui s'inscrit ensuite pendant près de 15 ans dans le catholicisme à travers des fonctions de permanents à JOC, au secours catholique et puis, tu crées le réseau ECO Habitat. Un réseau qui crée les conditions pour des personnes en difficultés de rénover leur logement avec des matériaux biosourcés alors que souvent ils ont peu ou pas de revenu … mais tu vas nous en dire plus très vite.

Je vais commencer par une 1ère question qui va faire le pont avec l’actualité : quand tu étais jeune militant à la JOC, tu étais aussi objecteur de conscience ce qui veut dire que tu refusais de faire un service militaire classique en portant des armes. Est-ce qu'aujourd'hui, tu aurais ce même engagement, dans un contexte tellement inattendu qui est la guerre en Ukraine ?

Merci Franck pour ce moment.

Bonne écoute :)

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Il pleut, ce n’est pas merveilleux, tout au moins il a plu cette nuit et la nature va bourgeonner de partout dès qu’il y aura un rayon de soleil… encore deux semaines et nous serons au printemps !

Je m’appelle Pierre, fondateur de tootak qui crée des podcasts dédiés à la formation et la communication par la voix et produit « Déclic : Ce moment où tout bascule ».

Dans le désordre, je voudrais vous parler de mon invité : camionneur, membre de la commission Attali, chef de cabinet du secrétaire d'Etat à l’économie solidaire Guy Hascouet, créateur du Chênelet, père de cinq enfants, engagé dans l’économie solidaire depuis 1986, président de la foncière Chênelet, porteur de rêves, j’ai le plaisir d’accueillir dans le siège à coté de moi, François Marty, Bonjour François.

Si nous sommes réunis, c’est grâce à Benoît Gadjos qui dirige CO, une coopérative de conseil dédiée à l’accompagnement de projets d’intérêt général dont je vous reparlerais au cours de cette saison, merci Benoit.

Aujourd’hui le groupe Chênelet, a des origines qui remontent aux années 90 et c’est une entreprise solidaire qui emploie 270 personnes et réalise des bâtiments écologiques pour les plus démunis. Mais aussi, produit du jus de pomme, des palettes et depuis 2019 du chocolat. Le tout vendu à travers des sites internet et dans les sites de production dans le Nord-Pas-De-Calais, les Ardennes ou la Bourgogne. 

Je vais commencer par une 1ère question autour des valeurs de Chênelet : j’ai lu que l’échelle des salaires dans le groupe ne pouvait se trouvait entre le minimum et le maximum de 1 à 2,5… Pourquoi avez-vous décidé cela ? Cela est-il facile de le porter dans la durée ?

Merci François pour ce moment.

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Il est 18h20, jour de grève et cet épisode Hors-Série se déroule à Malakoff, en public, siège de Kéa et de Tootak.

Nous sommes entourés par des curieux, des passionnés qui ont bravé les incertitudes pour être là pendant cette demi-heure, pour entendre Hervé Pierre, acteur de la Comédie française, nous parler de son expérience exceptionnelle d’homme de théâtre et de cinéma, et singulièrement du pouvoir de la voix, thème de cette Masterclass.

Merci à Gilles Auguste de nous avoir mis en relation.

Bonne écoute 🙂

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