Les chroniques de la webradio Allô la Planète – Details, episodes & analysis

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Hugo interviewent Luna et Liam âgée respectivement de 13 ans et 11 ans. 

Luna et Liam, deux frères et sœurs, sont partis en avril 2019 avec leur famille pour vivre une vie de nomade autour du monde en 4x4 avec une tente de toit. Ils ont changé de moyen de transport après l’épidémie du Covid-19 pour voyager en van, et cette fois ci avec deux tentes de toit. Au moment de l’interview ils se trouvaient en Thaïlande, vers Chiang Maï. La fratrie a traversé différent pays comme l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, le Maroc, le Portugal, la Turquie, la Géorgie, l’Arménie, l’Iran, le Pakistan, l’Inde, la Malaisie et le Cambodge. Ils étaient déjà partis en voyage auparavant, pour un voyage de deux mois en Martinique.

Le pays qu’ils ont le plus apprécié est la Turquie, où ils étaient restés un an et demi. Ils ont beaucoup aimé les paysages, ils ont trouvé les turcs très accueillant. Ils ont pu admirer les Montgolfières en Cappadoce. Ils ont également beaucoup apprécié les maisons troglodytes parce qu’ils devaient escalader pour pouvoir rentrer dans les maisons, mais aussi car ils ont trouvé très beau les habitation troglodytes éclairé dans la nuit. En Turquie ils ont pu visiter beaucoup de villes différentes, parmi elles, la capitale Ankara, visité également diverses mosquées comme Sainte-Sophie.

Les deux frères et sœurs occupent leur temps libre en jouant, en écrivant des histoires pour Liam, ou en dessinant pour Luna. Mais aussi en étudiant, car ils font tous les deux l’école à la maison depuis 8 ans au moment de l’interview. D’ailleurs, leur petite sœur de 8 ans, n’a jamais connu l’école. Le système d’école à la maison est une méthode d’apprentissage que les deux enfants affectionnent beaucoup car pour eux, cela leur permet de faire de la place à leur créativité.

Dans cette nouvelle chronique Bulle Sauvage, diffusée sur la webradio Allô la Planète et présentée par Audrey, l'accent est mis sur l'importance d'adopter une approche éthique lors des voyages, notamment en ce qui concerne les interactions avec la faune marine. Elle invite les auditeurs à réfléchir sur les conséquences des excursions maritimes qui permettent d'observer ou de nager avec des animaux comme les dauphins, les baleines et les tortues.

Ces sorties, souvent commercialisées sous le nom de "dolphin watching" ou "whale watching", impliquent de nombreux bateaux cernant les animaux, les perturbant et générant un stress intense. Ce harcèlement peut entraîner des conséquences graves pour les cétacés, comme des modifications de leurs routes migratoires, une augmentation des dépenses énergétiques, des troubles du comportement, voire la séparation des mères et de leurs petits. L'utilisation des moteurs de bateaux perturbe également leur communication, et le bruit ainsi que les polluants générés peuvent causer des dommages physiologiques importants, comme des surdités ou des lésions d'organes.

Audrey met en garde contre la tentation de nager avec ces animaux, soulignant que cela contribue également à leur stress et peut même entraîner des fausses couches chez les femelles ou la transmission de maladies de l'homme aux cétacés. Les tortues marines, également souvent ciblées par ces excursions, peuvent être stressées par l'approche humaine, et il est crucial de les observer avec respect, sans les toucher ni les poursuivre.

Pour un tourisme plus respectueux, Audrey recommande de privilégier des excursions encadrées par des prestataires éthiques, utilisant des modes de déplacement doux comme les voiliers ou les kayaks, et respectant des règles strictes d'approche des animaux. Elle mentionne des labels comme le "High Quality Whale Watching" en Méditerranée, qui impose des limites strictes sur l'approche et l'observation des cétacés, et rappelle que chaque voyageur a un rôle à jouer en sensibilisant ses compagnons de voyage et en choisissant des excursions responsables.

Enfin, Audrey conclut en encourageant les voyageurs à se renseigner sur les labels de qualité et à adopter des gestes simples pour protéger la vie sous-marine, comme éviter de toucher les coraux ou de prélever des coquillages. Elle rappelle que l'observation respectueuse des animaux dans leur habitat naturel reste la meilleure option pour préserver leur bien-être.

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Lilou interviewent Louis âgée de 11 ans. 

Louis a voyagé en Espagne pendant 1 mois où il a pu visiter plusieurs grandes villes espagnoles comme Barcelone, Grenade, Almeria, Rosat. Il a notamment remarqué la grande pollution qui touche c’est ville pendant son voyage, mais aussi des monuments célèbres, et de grande église comme par exemple la Sagrada Familia.

Le jeune voyageur à put manger également des plats typiques d’Espagne ainsi que des plats qui n’avait jamais pu goûter auparavant comme de l’oursin.

Il nous parle également de ses autres voyages qu’il a effectué par le passé. En 2019, il était parti en Asie du Sud-Est où il est passé par de nombreux pays comme la Malaisie, la Thaïlande, le Laos ou encore le Cambodge. Durant ces voyages, il a vu aussi de nombreux animaux comme des singes, des varans qui sont comme des crocodile mais plus petit et plus et plus dangereux. Louis a pu même voir et touché des éléphanteaux.

Le vélo, souvent qualifié de moyen de transport le plus rapide du monde, est célébré dans le numéro 72 de Carnets d'Aventures, consacré aux voyages à vélo. Ce numéro met en avant le pouvoir du vélo de transporter ses utilisateurs bien au-delà des simples kilomètres parcourus. Il ne s’agit pas d’un manuel, mais d’une véritable invitation à l’aventure, à l'évasion et à la découverte, à travers les récits et les images inspirantes des cyclo-voyageurs.

Le vélo est décrit comme un compagnon fidèle, capable de porter nos bagages et nos rêves d’aventure, tout en nous offrant la liberté de la contemplation et le luxe du temps retrouvé. Il est un vecteur de rencontres, un lien direct avec la nature, et un moyen de ressentir pleinement l’effort physique. Chaque vélo peut être adapté aux besoins et aux envies de son utilisateur, qu'il s'agisse d'une randonneuse, d'un Gravel, d'un VTT, d'un Fatbike, ou même d'un tandem.

Ce mode de transport polyvalent peut également s'associer à d'autres passions, comme l'escalade, le ski, le parapente, ou encore le surf, rendant chaque aventure unique. Le vélo se distingue aussi par son efficacité inégalée en tant que moyen de locomotion, une qualité qui en fait un choix central pour l’écomobilité de demain.

En somme, ce numéro de Carnets d'Aventures célèbre le vélo non seulement comme un outil de voyage, mais aussi comme un symbole de liberté, d'efficacité, et de connexion profonde avec l’environnement. Pour les auteurs et les cyclo-voyageurs mis en lumière, le vélo est bien plus qu'un simple moyen de transport ; c'est une manière de vivre et d'explorer le monde.

Un numéro que vous pouvez commandez sur le site du magazine Carnets d'Aventures

Je crois bien que l’appel du voyage a toujours été là. Voir la carte du monde et les punaises des endroits où a été mon grand-père était une invitation à voir plus grand, à sortir de ma campagne. Découvrir de nouveaux horizons. Je lisais beaucoup pour voyager autrement. J’ai décidé d’être comédienne pour vivre de l’extraordinaire dans mon ordinaire. Je me souviens qu’à 18 ans, je rêvais avec ma sœur de nous acheter un VW et de parcourir la France. Je me disais qu’à 30 ans, je ferai le tour du monde avec ma famille. Trois ans plus tard je choisissais de faire une année sabbatique avant un burn-out et de voyager en Libye, Russie, Croatie, Sardaigne, Florence, St Jacques de Compostelle et Arizona. Ce dernier voyage n’a pas eu lieu car j’étais enceinte de 7 mois. Un autre voyage que celui-ci...

La Covid-19 est passée par là. Vivre l’empêchement à l’intérieur de soi et à l’extérieur. Une rupture amoureuse difficile en début 2022. Et un élan de vie surgit en moi au tout début d’une formation artistique “le seul en scène”. J’exprime à une stagiaire : “Je sais ce que je vais faire ! Je donne mon préavis pour fin juillet et je pars sur les routes.”  Les Coulisses d’une nomade en herbe est le carnet intime et vivant de ce que nous vivons avec ma fille en instruction en famille dans cette nouvelle aventure en van depuis l’été 2022. Une vie d’inconnu, d’émotions, d’ordinaire et d’extraordinaire, de liens humains, de nouveaux horizons, de rêves, ...
Dans le premier épisode, je t’explique comment je vais t’embarquer dans nos aventures : de-ci, de-là, par monts et par vaux, les chemins de traverse c’est ma spécialité. Pourquoi j’ai créé cette chronique. Je vais te lire aussi un extrait de l’ouvrage « Le chemin des estives » de Charles Wright.

D’épisode en épisode, tu vas faire partie de notre vie sans chronologie.

Le thème de cette seconde chronique de "Bulle Sauvage", diffusée sur la webradio "Allô la Planète", est l'éco-volontariat. Une pratique qu'Audrey connaît bien pour l'avoir expérimentée pendant un an. L'éco-volontariat consiste à s'engager bénévolement pour des missions en faveur de l'environnement ou des animaux, en échange d'hébergement et de repas, sans confondre cela avec un stage rémunéré.

Ces missions, souvent situées dans des endroits reculés et nécessitant peu de compétences spécifiques, attirent principalement des jeunes entre 18 et 30 ans, disponibles pour des périodes prolongées. Cependant, Audrey met en garde contre les pièges qui se sont multipliés autour de l'éco-volontariat, avec certaines structures exploitant la tendance pour des gains lucratifs sous couvert d'engagement environnemental.

Il est crucial de bien se renseigner avant de s'engager. Beaucoup d'organismes proposent des missions "clé en main", souvent coûteuses, qui ne correspondent pas à des besoins locaux réels. Ces offres, bien que séduisantes, sont parfois de véritables arnaques, n'apportant aucune valeur ajoutée aux animaux concernés.

Pour éviter ces pièges, Audrey conseille de faire des recherches approfondies sur les structures avant de partir, en croisant les témoignages d'anciens volontaires et en s'assurant que les fonds versés servent à des projets concrets. Elle insiste sur l'importance de poser toutes les questions nécessaires avant de s'engager, notamment sur l'utilisation des fonds, les conditions de vie sur place, et les véritables besoins de l'association.

Les missions d’éco-volontariat authentiques peuvent être exigeantes, avec des conditions de vie parfois rudimentaires et un travail physique éprouvant. Les volontaires doivent être prêts à s'adapter et à supporter des situations difficiles, mais ces expériences peuvent être enrichissantes si elles sont bien préparées.

Enfin, Audrey rappelle que l'objectif principal est toujours le bien-être des animaux, ce qui signifie souvent limiter les contacts directs pour éviter l’imprégnation. Les volontaires doivent comprendre que leur confort n'est pas la priorité, mais que leur engagement peut réellement faire la différence pour les animaux et la cause qu'ils défendent.

Audrey encourage les futurs volontaires à bien choisir leur mission et à partager leurs expériences pour aider d'autres voyageurs à faire des choix éclairés.

Dans la première chronique de l'émission "Bulle Sauvage", diffusée sur la webradio "Allô la Planète" et présentée par Audrey, l'accent est mis sur la nécessité de voyager de manière plus responsable, notamment en ce qui concerne les balades à dos d'éléphant. Cette pratique, courante en Asie du Sud-Est, est souvent perçue comme une activité exotique et amusante, mais elle est en réalité extrêmement cruelle pour les éléphants.

Les balades à dos d'éléphant, proposées en Thaïlande et dans l'Inde du Nord, sont progressivement interdites au Vietnam et au Cambodge. Les touristes, souvent inconscients des souffrances infligées aux animaux, participent à ces activités en raison de leur accessibilité et de la popularité des photos partagées sur les réseaux sociaux.

Le processus de dressage des éléphants, est brutal. Les éléphanteaux sont arrachés à leur mère, puis soumis à un dressage violent visant à briser leur volonté. Attachés avec des chaînes, confinés dans de petites cages, ils subissent de nombreuses maltraitances, notamment des brûlures, des électrocutions, et des privations de sommeil, de nourriture et d'eau. Environ un éléphanteau sur deux ne survit pas à ce traitement.

Une fois dressés, les éléphants sont utilisés pour porter des touristes pendant des heures sous une chaleur accablante. Cette exploitation excessive provoque des blessures graves, notamment sur leur dos, qui n'est pas conçu pour supporter de lourdes charges. Avec le temps, leur dos s'affaisse, témoignant de longues années de souffrance.

Audrey souligne qu'il existe des alternatives plus respectueuses, comme la visite de sanctuaires ou de centres de soins pour éléphants. Cependant, il faut se méfier des faux refuges qui exploitent également les animaux sous couvert de protection. Les véritables sanctuaires limitent le contact avec les éléphants et proposent des activités comme le bain ou le nourrissage, permettant une interaction respectueuse avec les animaux.

Enfin, observer les éléphants dans leur milieu naturel, sous la supervision de rangers, est l'option la plus éthique pour les voyageurs soucieux du bien-être animal. Audrey rappelle que le but de cette chronique est d'informer et non de moraliser, afin que les voyageurs puissent faire des choix éclairés et éthiques lors de leurs voyages.

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone, Rose et Hugo interviewent Lou Andréa âgée de 12 ans. 

Lou Andréa vit une vie de nomade avec sa mère dans un van aménagé depuis un an, et pour une durée indéterminée. Lors de l’enregistrement du podcast, elle était en Normandie avec sa mère, pour les fêtes de fin d’année. Pour l’instant, Lou et sa mère sont restés exclusivement en France. Toutefois, elles envisagent de continuer une partie de leur vie de nomade à l’étranger. Elles avaient traversé, alors, une grande partie du sud de la France. Elles ont également été en Ardèche, en Savoie, en Haute-Savoie, ainsi que dans l’Aude.

Depuis leur départ, le duo mère-fille a beaucoup voyagé à travers diverse région et département en France, et a visité par exemple des sites archéologiques, mais aussi énormément de châteaux comme certains châteaux de la Loire

Lou Andréa nous raconte également comment se passe l’école en voyage, car elle ne suit pas le programme scolaire. Elle fait de l’IES (Instruction En Famille), une méthode de travail autonome assez original.

Elle explique également comment elle occupe son temps libre en lisant, en dessinant des dessins de manga en majorité ou encore en regardant des animés comme toilet bound hanako kun.  

Elle nous raconte également comment elle s’est faite des amis lors de l’événement nonscÔ. Il s’agit de rencontres entre familles déscolarisée. Mais aussi dans des éco-lieux qui sont des tiers-lieux communautaires où les gens peuvent cohabiter ensemble.

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone, Rose et Hugo interviewent Coline âgée de 14 ans. 

Coline nous raconte son voyage à vélo en Afrique en 2019. Un voyage de six mois qu’elle a fait avec ses parents, son grand frère et sa petite sœur, âgés alors, respectueusement de 12 et 7 ans à l’époque du voyage. Ils sont partis de chez eux, à Chambéry, sont allés jusqu’en Espagne en passant par le chemin de Compostelle. Puis, ils ont rejoint l’Afrique à bord d’un ferry, et ont continués leur périple via d’abord l’Atlas marocain, puis le désert mauritanien. Ils ont fini par le tour du Sénégal.

La famille dormait dans une tente qu’elle transportait dans les sacoches dans lesquelles elle mettait aussi tout ce dont elle avait besoin. Tout était réparti à l’arrière de leur vélo.

Coline nous raconte également « l’école en voyage ». C’était, selon elle, quelque peu orignal étant donné que les trois enfants avaient comme principal devoirs, l’écriture d’un cahier de voyage et comme principale leçon : « l’école de la vie ».

La jeune voyageuse nous témoigne aussi de la manière dont elle son frère et sœur occupaient leur temps libre, avec des jeux comme des jeux de cartes, des devinettes ou même en jouant au Tarot .

Pour ce numéro des Jeunes Explorateurs (diffusé sur la webradio de voyage Allo la Planète) Malone et Hugo interviewent Nils âgée de 15 ans. 

Nils nous raconte son voyage nomade avec ses parents, son frère et ses deux sœurs pour un tour du monde en 2017 pendant 1ans avec comme moyen de locomotion le vélo en majorité, mais aussi en voiture, voilier et randonnée. Ils ont voyagé pendant 1 an au tour du monde dont 6 mois en Amérique du Sud. Ils sont également aller en dehors de celle-ci comme en Polynésie Française ou au Népal. Il a particulièrement adoré l’Amérique Latine plus précisément le Pérou qui la marqué par son histoire ainsi que les Incas. Il a pu visiter le Machu Picchu, L'Himalaya et autres. Auparavant Nils avait déjà voyagé notamment au Maroc.

Il passait la plupart de son temps libre à lire de type fantastique comme Harry Potter, Mais aussi des histoires plus « local », avec des livre sur l’histoire des Incas ou de la colonisation du Sud de l’Amérique grâce à des liseuses électroniques mais aussi en jouant avec ses parents ou son frère et ses sœurs à des jeux de société comme des jeux de cartes par exemple. Il est déjà parti auparavant en voyage à l’étranger au Maroc quand il était petit.