Choses à Savoir ÉCONOMIE – Détails, épisodes et analyse
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Choses à Savoir ÉCONOMIE
Choses à Savoir
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Quel est le patrimoine de Kamala Harris ?
lundi 2 septembre 2024 • Durée 02:00
Première femme à accéder au poste de Vice-Présidente des États-Unis, Kamala Harris sera sans doute la candidate démocrate à la prochaine élection présidentielle, qui se tiendra en novembre prochain.
En effet, elle a été adoubée par le Président Biden, qui a finalement décidé, le 21 juillet, de se retirer de la compétition. La Vice-Présidente a aussitôt reçu le soutien des grands ténors du parti ainsi que de nombreuses promesses de dons.
Kamala Harris sera sans doute amenée, comme Joe Biden, à publier sa déclaration de revenus, une tradition que Donald Trump n'avait pas respectée.
Un patrimoine immobilier
L'ancienne sénatrice de Californie sera donc amenée à dévoiler l'étendue de son patrimoine. Celui-ci se compose d'abord de trois résidences. L'une d'elles, située à Los Angeles, comprend une piscine.
Kamala Harris et son mari, Douglas Emhoff, possèdent également un appartement de 150 m2 à Washington. Compte tenu du prix de l'immobilier dans la capitale fédérale, on ne sera pas étonné que le couple ait dû débourser 1,4 million de dollars pour l'acquérir.
De son côté, le mari de Kamala Harris, qui est avocat, avait acheté, dans le quartier résidentiel de Brentwood, à Los Angels, une maison de 100 m2. La valeur de ces trois biens est estimée à 8 millions de dollars.
D'autres sources de revenus
Du côté de ses revenus, Kamala Harris perçoit, en tant que Vice-Présidente, un salaire annuel brut de 230 000 dollars. Elle a aussi écrit des livres, dont un ouvrage sur son expérience de Procureur général de Californie. Ces ouvrages lui ont rapporté, en 2021, quelque 450 000 dollars de droits d'auteur.
Dans la dernière déclaration officielle, faite auprès des services compétents, le patrimoine financier du couple (en dehors de l'immobilier) est évalué à près de 4,8 millions de dollars.
Ces économies sont investies dans divers titres financiers, surtout des actions et des obligations. Féru de transactions boursières, Douglas Emhoff a réussi, en 2023, à multiplier par deux la fortune du couple.
Du côté du passif, les déclarations montrent que d'importantes dettes ont été remboursées en 2022.
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Pause estivale – Rendez-vous le 1er septembre !
lundi 29 juillet 2024 • Durée 00:31
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Quelle est la chaine d'information la plus populaire ?
jeudi 11 juillet 2024 • Durée 02:01
Alors que 15 chaînes de la TNT sont concernées par la réattribution des fréquences par l'Arcom, le régulateur du secteur audiovisuel, une chaîne d'information, CNews, caracole en tête.
Cependant, la chaîne, qui appartient à l'homme d'affaires conservateur Vincent Bolloré, ne dépasse sa rivale BFMTV que d'une courte tête. D'après les chiffres donnés par Médiamétrie, qui mesure l'audience des chaînes de télévision et de radio, elle a enregistré, en mai, 2,8 % de parts d'audience, contre 2,7 % pour BFMTV.
Derrière ces deux leaders, on trouve d'autres chaînes d'informations, comme LCI, avec 1,7 % de parts d'audience en mai, et Franceinfo, qui n'en recueille que 0,7 %.
La prédominance de CNews se confirme en juin, pour le deuxième mois consécutif, le score restant cependant très serré. Selon Médiamétrie, CNews aurait recueilli 3,5 % des parts d'audience en juin, contre 3,4 % pour BFMTV. De leur côté, LCI et Franceinfo sont toujours à la traîne.
D'une manière générale, les derniers événements politiques, avec les élections européennes et les législatives anticipées provoquées par la dissolution de l'Assemblée, ont stimulé l'audience des chaînes d'information.
Les responsables de BFMTV relativisent la portée de ces statistiques. Ils font d'abord remarquer que CNews ne devance leur station que de très peu. Cette avance ne serait significative que si elle se confirmait sur une plus longue période.
Par ailleurs, si CNews l'emporte sur sa rivale en termes de parts d'audience, BFMTV revendique un plus grand nombre de spectateurs. D'après ses chiffres, plus de 12 millions de personnes regarderaient la chaîne chaque jour, soit une progression de 10 % sur un an, contre seulement 8,2 millions pour CNews.
Une affirmation que certains événements ponctuels tendent à confirmer. Ainsi, lors de la soirée électorale du 9 juin dernier, les spectateurs ont donné la préférence à BFMTV. Entre 20 h et 21 h, 1,4 million de personnes regardaient la chaîne, soit un peu plus de 6 % des spectateurs. La performance de CNews, ce soir-là, a été plus médiocre.
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Pourquoi le pouvoir d'achat devrait réellement augmenter en 2024 ?
lundi 19 février 2024 • Durée 02:01
Dans ce contexte économique morose, marqué par une inflation qui cède à peine le pas, voilà qu'une bonne nouvelle devrait enfin redonner, en ce début d'année, un peu d'optimisme aux Français. En effet, leur pouvoir d'achat devrait augmenter en 2024.
Cette progression s'explique d'abord par une hausse prévisible des salaires. D'après la Banque de France, ils devraient augmenter, en moyenne de 3,5 % cette année. D'autres observateurs prévoient même une hausse de 4 %.
Cette appréciation des salaires n'est certes pas nouvelle. Mais elle devrait être nettement supérieure à celle des années précédentes. En effet, les salaires avaient progressé, en moyenne, de 1,5 % en 2020 et de 1,7 % en 2021.
Le ralentissement de l'inflation devrait également permettre aux Français de regagner du pouvoir d'achat. Selon la Banque de France, en effet, elle devrait se situer à 2,5 % en 2024, contre 5,7 % l'année dernière.
L'augmentation des salaires devrait donc être supérieure à celle des prix, ce qui ne peut qu'améliorer la situation financière des Français.
À tel point d'ailleurs que l'Office français des conjonctures économiques (OFCE) estime que leur pouvoir d'achat devrait être, en moyenne, supérieur de 2,5 % à ce qu'il était en 2019.
Pour autant, tous ces chiffres ne sont que des moyennes. Si, dans l'ensemble, la hausse des salaires devrait bien être supérieure à celle des prix en 2024, tout le monde ne sera pas logé à la même enseigne.
En effet, pour près de 20 % des salariés, la rémunération restera en-deçà de l'inflation. Au contraire, près de 40 % des salariés verront leur salaire progresser dans une fourchette comprise entre 2,5 et 4 %.
Ces salariés chanceux travaillent dans certains secteurs d'activité, comme la chimie ou la métallurgie. On les trouve aussi dans les transports qui, face à la pression syndicale, ont relevé les salaires de près de 4 %. Ces augmentations notables des rémunérations se remarquent aussi dans les métiers de la construction, qui ont toujours de la peine à recruter.
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Quels sont les « mauvais payeurs » de l'OTAN ?
dimanche 18 février 2024 • Durée 01:55
En pleine campagne pour les primaires républicaines, en vue des élections présidentielles de novembre prochain, Donald Trump vient de faire une de ces déclarations fracassantes dont il a le secret. Et elle a de quoi inquiéter ses alliés occidentaux.
Au cours d'un meeting, en effet, on a demandé à l'ancien Président s'il continuerait à faire profiter de la protection de l'OTAN un pays qui ne serait pas à jour de sa contribution à cette alliance militaire.
Donald Trump a répondu que non seulement il ne le protègerait pas mais qu'il inciterait la Russie à le traiter comme elle l'entend. Autrement dit, sans doute, à l'envahir. Des propos qui ont provoqué un tollé aussi bien à la Maison Blanche qu'en Europe et créé un certain malaise chez les républicains.
L'OTAN est financé par des contributions directes de ses membres, dont le montant est révisé tous les deux ans. Elles permettent de subvenir au fonctionnement de l'alliance et à l'entretien de ses infrastructures.
Même s'ils peuvent paraître élevés, ces versements, de l'ordre de 3,3 milliards d'euros, ne représentent qu'environ 0,3 % des dépenses militaires des pays membres. Les
États-Unis et l'Allemagne, avec un peu plus de 16 % du total chacun, sont les plus gros contributeurs.
Mais il faut aussi compter avec les dépenses liées aux opérations de l'Otan. Chaque pays membre doit en principe consacrer au moins 2 % de son PIB au financement de ces frais, plus importants que les contributions directes.
Or, si certains pays, comme la Pologne (3,9 % du PIB), les États-Unis (3,5 % du Pib) ou la Grèce (3 % du PIB), font plus que respecter leur part du contrat, d'autres se comportent comme de mauvais payeurs.
C'est notamment le cas de l'Allemagne (1,6 % du PIB), de l'Italie (1,5 %), de l'Espagne (1,3 %) ou encore du Luxembourg, qui avec 0,7 % de son PIB consacré à ces dépenses, arrive en dernière position.
En fait, depuis le départ, les États-Unis assument à eux seuls environ la moitié des dépenses totales de l'OTAN. De quoi donner raison à Donald Trump ?
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Dans quelle station de ski l'immobilier est-il le plus cher ?
jeudi 15 février 2024 • Durée 01:42
Les vacances d'hiver approchent à grands pas, et beaucoup de Français voudront en profiter pour retrouver les joies de la neige. Plutôt que de louer un chalet ou une chambre d'hôtel, certains préféreront acquérir un bien sur place.
Pour cela, ils vont rechercher les secteurs où les prix de l'immobilier restent abordables. À cet égard, le prix moyen au m2 était, en février 2021, de 5.272 euros dans les Alpes du Nord, un tarif trois fois plus élevé que dans les Vosges.
Mais si, en raison de vos goûts ou d'une certaine proximité, vous préférez les Alpes, il faut examiner la situation de plus près. En effet, le prix de l'immobilier y est plus élevé dans certaines stations de ski que dans d'autres.
Si l'on devait établir le classement des stations où l'immobilier est le plus cher, la première place reviendrait à Val d'Isère, en Savoie. En effet, si l'on en croit Meilleurs Agents, une référence en matière d'estimation immobilière, le prix moyen au m2, dans cette station, était déjà de 12.279 euros en février 2021. D'après le site Money Vox, le prix moyen aurait encore progressé, pour atteindre 15.268 euros le m2 en janvier 2024.
L'achat d'un appartement à Val d'Isère coûterait donc plus cher qu'à Paris où pourtant, on le sait, les prix de l'immobilier sont les plus élevés en France. À titre de comparaison, il fallait compter, au début 2021, 12.032 euros le m2 dans le second arrondissement de la capitale.
Val d'Isère subit, comme les autres stations, mais de manière encore plus marquée, les conséquences de la hausse de l'immobilier dans les Alpes du Nord. Toujours d'après Meilleurs Agents, les prix y auraient progressé de près de 10 % entre janvier 2021 et janvier 2022. Et la hausse atteint même près de 23 % sur les trois dernières années.
Sur ce podium des stations de ski les plus chères, on trouve ensuite Courchevel, en Savoie, puis Megève, en Haute Savoie, où le prix moyen au m2 avoisine les 10.000 euros.
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Pourquoi une compagnie aérienne veut-elle peser les passagers ?
mercredi 14 février 2024 • Durée 01:54
Les passagers seront-ils bientôt traités comme leurs bagages ? La compagnie aérienne Korean Air a en effet inauguré, dans deux aéroports de Corée du Sud, une nouvelle pratique : peser les voyageurs. Elle leur a donc récemment demandé de monter sur la balance avant d'accéder à leur avion.
Ce qui n'a pas manqué de susciter l'indignation de certains d'entre eux. On a ainsi vu fleurir de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux. On a pu assimiler cette pratique à une forme de discrimination.
On s'est aussi demandé si, désormais, le prix des billets dépendrait du poids des passagers. Enfin, certains ont rappelé que, pour répondre à cette curieuse demande de la compagnie, il fallait divulguer des données personnelles et confidentielles.
Mais Korean Air n'est pas la première à peser ses passagers. La compagnie nationale néo-zélandaise et plusieurs compagnies américaines s'y sont déjà essayées.
Les compagnies ont cependant des arguments à faire valoir. En enregistrant le poids des voyageurs, et notamment celui de leurs clients réguliers, elles peuvent ainsi mieux les répartir dans les avions et prévoir la charge représentée, dans chaque appareil, par les passagers.
Ce serait donc une question de sécurité. De fait, la prise en compte du poids précis de chaque voyageur permettrait de mesurer avec beaucoup plus de précision la charge de l'avion. Jusqu'alors, en effet, on se contentait de compter environ 80 kg par voyageur, ce qui est loin de correspondre à la réalité.
Mais cette pratique permettrait aussi d'économiser le carburant. Plus un avion est lourd, plus il consomme du kérosène. Ce serait donc une manière, pour les compagnies, de limiter leurs coûts d'exploitation.
Par ailleurs, elles tentent de répondre aux critiques. Ainsi, Korean Air assure que les passagers sont pesés de manière anonyme et en toute discrétion. Certains suggèrent que les voyageurs donnent eux-mêmes cette information à l'avance, au moment de réserver leur billet.
Une solution qui ne devrait pas forcément convaincre les responsables des compagnies aériennes. En effet, rien ne leur garantit que les passagers leur donneront des informations exactes.
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Pourquoi le prix du gaz ne cesse de grimper ?
mardi 13 février 2024 • Durée 01:52
Décidément, la facture énergétique ne cesse de s'alourdir. Après une augmentation de 10 % du tarif de l'électricité, on annonce une nouvelle hausse du prix du gaz pour l'été prochain.
À partir du 1er juillet 2024, en effet, le tarif du gaz devrait progresser de 5,5 % pour les clients se chauffant avec ce mode d'énergie. Et la hausse devrait être de 10,4 % pour ceux qui utilisent le gaz pour l'eau chaude ou la cuisson des repas.
Pour le gestionnaire du réseau, cette nouvelle augmentation s'explique d'abord par la nécessité de payer des frais d'entretien qui ne cessent de progresser. Pour pouvoir couvrir ces coûts fixes, le gestionnaire avait demandé une augmentation de 40 % des tarifs du gaz sur quatre ans. La Commission de régulation de l'énergie (CRE) ne lui a accordé qu'un peu plus de 27 % de hausse.
Si les charges du gestionnaire ne cessent d'augmenter, c'est, du moins en partie, en raison de la baisse constante de la consommation. En effet, les particuliers utilisent de moins en moins le gaz comme source d'énergie.
La consommation a baissé de 9,5 % entre le 1er août 2022 et le 31 juillet 2023, par rapport à la même période 2018-2019. Or, les exigences, en matière d'entretien du réseau, restent les mêmes. C'est en effet une question de sécurité pour le consommateur.
Il faut donc répartir ces frais d'entretien, qu'on ne peut réduire, sur des consommateurs moins nombreux. Ce qui représente, pour chacun d'entre eux, un prix plus élevé.
Ce phénomène a alors tendance à enclencher un véritable cercle vicieux. En effet, cette hausse des tarifs conduira de nouveaux consommateurs à abandonner le gaz. Ce qui provoquera une nouvelle augmentation de ces frais fixes, donc une nouvelle baisse de la demande. Et ainsi de suite.
Il faut donc s'attendre à de nouvelles augmentations dans les prochaines années. D'autant que le montant des taxes, qui représente une partie du prix, et le prix du gaz naturel lui-même devraient également subir de nouvelles hausses.
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Qu'est-ce que le « No spend February » ?
lundi 12 février 2024 • Durée 01:55
Nos contemporains ont pris l'habitude de se lancer des défis. Ainsi, le "dry january" les invitait à réduire leur consommation d'alcool durant ce mois, ou même à ne plus boire du tout.
Voilà maintenant le "no spend february". Comme son nom l'indique, il s'agit, en ce second mois de l'année, de moins dépenser ou de laisser même, certains jours, son porte-monnaie dans sa poche.
L'idéal serait de se limiter aux achats utiles. Lancé sur les réseaux sociaux, ce nouveau défi semble rencontrer un grand succès.
Le but du "no spend february" est donc d'apprendre à maîtriser ses dépenses. Ses promoteurs ne se contentent pas de lancer un slogan accrocheur, ils donnent des conseils simples mais judicieux.
Les uns préconisent de suivre ses dépenses au jour le jour, pour ne pas en perdre le contrôle. D'autres proposent des astuces pratiques, comme la technique des enveloppes, devenue très populaire.
Elle consiste à mettre dans une enveloppe la somme réservée au paiement d'une facture, à un achat ou une activité. Le budget consacré à chaque dépense perd ainsi son caractère théorique et il devient plus facile de le contrôler.
Pour profiter de cette opération, il faut d'abord faire le point de toutes ses dépenses mensuelles. Sur cette base, il sera possible de faire le tri entre les dépenses essentielles, sur lesquelles on ne peut guère économiser, et les achats superflus.
Si certaines dépenses, comme le loyer ou certaines factures, ne peuvent subir de compression, d'autres habitudes d'achat peuvent être modifiées. Ainsi, on peut aller au restaurant une fois par mois au lieu de quatre ou se préparer une thermos de café plutôt que de le prendre en terrasse.
C'est donc un certain rapport à la consommation qui doit changer. Il faudrait la voir alors davantage comme une action utilitaire que comme une manière de vivre. C'est bien l'objectif que semble s'être assigné le "no spend february".
Au risque d'encourager un état de "sous-consommation" trop difficile à endurer pour les adeptes des achats compulsifs. Mais nous n'en sommes pas encore là.
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Je vous parle de mon nouveau podcast: La folle épopée
samedi 10 février 2024 • Durée 01:20
Pour écouter La folle épopée:
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