Soluble(s) | Actu, Ecologie, Société & Solutions – Détails, épisodes et analyse
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Soluble(s) | Actu, Ecologie, Société & Solutions
Simon Icard
Fréquence : 1 épisode/10j. Total Éps: 106

L'actu ne manque pas de problèmes mais des solutions sont là !
Des invité(e)s qui agissent et un podcast qui se veut concret, optimiste, mais pas naïf !
Acu, Ecologie, Société & Solutions, je m'appelle Simon Icard, je suis journaliste et vous souhaite la bienvenue dans cette émission.
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Simon
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La soumission chimique : un phénomène criminel à combattre
lundi 30 septembre 2024 • Durée 29:36
Le procès des viols de Mazan, qui se tient jusqu'en décembre 2024, met en lumière une méthode criminelle particulièrement vicieuse : la soumission chimique. Cinquante-et-une personnes, dont Dominique Pélicot, l'ex-mari de Gisèle Pélicot, sont accusées d'avoir utilisé cette méthode pour endormir puis violer Gisèle Pélicot dont le corps a été livré à au moins 83 violeurs sur une période de près de 10 ans. Pour Soluble(s), Arnaud Gallais, anthropologue et activiste des droits de l'enfant, cofondateur de l'association "M'endors pas : stop à la soumission chimique", livre ses pistes de solutions pour “qu’il n’y ait plus de Gisèle”, pour faire échec à ce procédé qui transforme les médicaments en armes de viols.
La soumission chimique consiste à utiliser des substances chimiques pour endormir une personne et la rendre vulnérable à des agressions sexuelles. Dominique Pélicot, par exemple, a systématiquement augmenté les dosages de médicaments pour endormir sa femme et la livrer à d'autres hommes recrutés par Internet. Les médicaments utilisés peuvent inclure des somnifères, des antidépresseurs, et d'autres substances facilement accessibles en pharmacie. Contrairement à certaines idées reçues, la soumission chimique ne se limite pas à l'usage de GHB, plus connu sous le nom de "drogue du violeur".
Arnaud Gallais souligne que la soumission chimique est un problème de santé publique majeur, “souvent passé sous les radars”. Les victimes peuvent présenter des symptômes tels que des pertes de mémoire, des maux de tête ou des affections gynécologiques. Il est crucial que les médecins soient formés à repérer ces signes, car les victimes sont souvent en état de sidération ou d’amnésie et ne comprennent pas ce qui leur arrive.Selon une enquête nationale sur la soumission chimique menée par l’ANSM, 721 signalements suspects ont été recensés en 2021, dont près de 85 % après des dépôts de plainte. Parmi eux, 82 sont qualifiés de soumissions "vraisemblables".
Il n'y a pas de profil type pour les agresseurs ou les victimes de soumission chimique. Cependant, les violences sexuelles sont majoritairement commises par des hommes contre des femmes et des enfants. Le procès Pélicot qui se tient devant la cour criminelle de Vaucluse illustre cette réalité, avec 51 hommes accusés face à une femme victime. En 2021, 57 des 82 cas de soumission chimique vraisemblable concernaient des femmes, et 25 des hommes. 22 cas d’emprise concernaient aussi des mineurs, dont 15 de moins de 15 ans.
Pour lutter contre ce phénomène, Arnaud Gallais et l’association “M’endors pas” proposent plusieurs pistes et appellent à une mobilisation citoyenne et politique (écouter).
Le procès Pélicot met également en lumière la "culture du viol", où les agresseurs minimisent leurs actes et où la société tend à excuser ces comportements. La victimisation secondaire, où la victime est replongée dans ses souffrances par le processus judiciaire, est aussi un problème majeur à résoudre. Arnaud Gallais appelle à une prise de conscience collective et à une meilleure protection des victimes pendant les audiences judiciaires.
"M'endors pas" appelle à une mobilisation citoyenne et politique.
POUR ALLER PLUS LOIN
- Site de l'association : mendorspas.org
- Lire aussi : le livre : "J'étais un enfant" par Arnaud Gallais et Ixchel Delaporte, chez Flammarion.
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Un revenu minimum pour les étudiants de Petit-Quevilly
lundi 23 septembre 2024 • Durée 15:44
Avec un coût moyen de la rentrée universitaire estimé à 3 157 euros en 2024, selon la FAGE, de nombreux étudiants peinent à boucler leurs fins de mois. Face à cette réalité, certaines collectivités territoriales se mobilisent pour apporter des solutions concrètes. C’est le cas de Petit-Quevilly, en Normandie, qui a mis en place un Revenu Minimum Étudiant (RME) dès la rentrée 2024. Pour Soluble(s), Charlotte Goujon, maire de la ville, détaille, cette initiative qui vise à soutenir les jeunes dans leurs parcours universitaires et à réduire les inégalités d’accès aux études supérieures.
Ce nouveau dispositif, mis en place par la ville de Petit-Quevilly, entend apporter un soutien financier aux étudiants résidant sur la commune et confrontés à des difficultés économiques.
Dans cette ville normande de près de 23.000 habitants, limitrophe de Rouen (Seine-Maritime) environ 150 étudiants sont inscrits à la distribution d’aide alimentaire proposée tous les 15 jours par l’association COP1.
Le montant de l'aide communale, qui peut atteindre 100 euros par mois pendant 10 mois, est calculé en fonction des ressources et “du reste à vivre” de chaque bénéficiaire. Pour en bénéficier, il convient d'être inscrit dans un établissement d’enseignement supérieur, d'avoir moins de 25 ans et de résider à Petit-Quevilly depuis au moins un an.
En contrepartie de cette aide financière, les étudiants s'engagent à participer à des actions citoyennes au sein de la commune. Cet engagement permet de renforcer le lien social et de favoriser l'implication des jeunes dans la vie locale.
En apportant un soutien financier complémentaire, ce dispositif vise à permettre aux étudiants de mieux concilier études et vie quotidienne. Et limiter le temps de travail dans un “petit boulot” dont la durée hebdomadaire dépasse les 12 heures pour 35 % des étudiants français qui déclarent devoir travailler à côté de leurs études pour boucler leur budget.
Les syndicats étudiants estiment que travailler pendant l’année étudiante est “un facteur d’échec académique’. Occuper un emploi à temps partiel est une nécessité pour 41 % des étudiants français, selon un sondage réalisé par le syndicat étudiant, la FAGE.
Le montant du Revenu Minimum Étudiant mis en place par le Petit-Quevilly varie de 30 € à 100 €. La fourchette basse peut correspondre au coût mensuel d’un abonnement aux transports de la métropole de Rouen et les 100 euros peuvent librement servir à financer des factures de dépenses contraintes comme l’énergie, l’abonnement mobile ou sa mutuelle santé, par exemple.
En France, où le versement du Revenu de Solidarité Active (RSA) n’est possible qu’à partir de l’âge de 25 ans (hors expérimentations RSA jeune actif), une quinzaine de communes ont mis en place un revenu minimum pour leurs étudiants.
- La page dédiée sur le site de la ville de Petit-Quevilly https://www.petit-quevilly.fr/information/actualites/un-revenu-minimum-pour-les-etudiants-4506
00:00 Introduction
01:07 Le parcours de Charlotte Goujon
02:45 Pourquoi la ville de Petit-Quevilly lance le Revenu Minimum Étudiant (RME)
05:02 La cherté de la vie étudiante
05:59 Les conditions à respecter & les bénéfices attendus
12:42 Une duplication ailleurs en France ?
14:58 Merci à Charlotte Goujon
Fin
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2050Now, le média qui vise 14 millions de Français, la « classe écologique » - Avec Aude Baron
lundi 20 mai 2024 • Durée 19:55
Comment rendre désirable une vie quotidienne et un système économique compatibles avec les objectifs climatiques à atteindre d’ici à 2050 ?
Pour le groupe Les Echos-Le parisien, une de ses réponses se retrouve dans le dispositif 2050Now.
Le groupe qui appartient au leader mondial du luxe, le Français LVMH, a lancé un nouveau média, 2050Now, dédié aux enjeux écologiques.
Il repose sur deux piliers : un média 100 % numérique qui diffuse ses vidéos de décryptage, de partage des solutions et interviews de spécialistes sur les réseaux sociaux en parallèle de newsletters éditoriales, et “La Maison 2050 “, un centre de connaissances pour les entreprises qui souhaitent “accélérer leur transition durable”.
Plongée dans les coulisses de 2050Now avec Aude Baron, la rédactrice en chef de ce nouveau média constructif qui monte en puissance depuis son lancement au printemps 2024.
2050Now adopte les codes de ses canaux de distribution. Pour les réseaux sociaux, son format star est la vidéo incarnée, face caméra. Des vidéos d’informations pensées pour atteindre la plus large part de son public cible, les jeunes, étudiants ou actifs qui ont à cœur de s’engager dans la transition environnementale, mais qui ne savent pas forcément “par où commencer, pour agir”.
Ce nouveau média qui “regarde le monde avec les lunettes de l’environnement” se veut “dans l’actu” et aborde des sujets sociétaux, les modes de consommation, la formation, les sports, les loisirs, et le monde de l’entreprise “qui fait à la fois partie du problème et de la solution” détaille Aude Baron au micro de Soluble(s).
Sans publicité sur les réseaux sociaux, avec des newsletters gratuites et payantes, le modèle économique repose également sur les réalisations de La Maison 2050 (ex-Netexplo) qui propose aux entreprises un observatoire, des études, des formations et des événements de partage des connaissances. Six grandes entreprises sont partenaires de La Maison 2050 (Bouygues, BNP Paribas, Engie, LVMH, SNCF Voyageurs et Veolia).
Pour accompagner ses audiences, ce projet mise sur la construction d’une “relation tripartite entre science, entreprise et média”. Le but, partager des solutions et médiatiser des chemins pour commencer à agir dès maintenant et parvenir à une transition aboutie en 2050, donc.
Écoutez.
POUR ALLER PLUS LOIN
- Visiter le site du media et s'inscrire à la newsletter gratuite : www.2050now.com
TIMECODES
00:00 Introduction
01:29 Le parcours d’Aude Baron
03:12 2050Now, le média digital est distribué sur les réseaux sociaux
04:02 Objectif : accompagner les gens dans leur transformation écologique
05:55 Le public cible appartient à “la classe écologique”
08:38 Un média dans l’actu
09:59 Les équipes de journalistes et intervenants
12:23 Après la vidéo, l’arrivée de newsletters gratuites et payantes
15:06 2050, le média est adossé à un centre de compétences (La Maison 2050, anciennement Netexplo)
18:50 Merci à Aude Baron et longue vie à ce nouveau média !
Fin
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Au fait, ça sert à quoi d'élire un Parlement européen ? Avec Audrey Vuetaz (Trait d’Union)
lundi 13 mai 2024 • Durée 32:21
Si loin, si proche. L’Europe est l’échelle de nombreux enjeux d’actualité, pourtant le rôle et le fonctionnement de son Parlement peuvent paraître éloignés de nos préoccupations quotidiennes, à tort. Alors que près de 450 millions de citoyens européens sont appelés à élire leurs eurodéputés entre les 6 et 9 juin 2024, Soluble(s) a recherché des réponses pour mieux comprendre l’importance du Parlement européen.
Écoutez cet épisode concret et pédagogique réalisé avec Audrey Vuetaz, journaliste passionnée. Elle est la créatrice du podcast Trait d’Union, un programme audio d’information et de vulgarisation sur l’Europe.
En France, les élections européennes auront lieu le dimanche 9 juin 2024.
Les électeurs vont envoyer 81 députés européens siéger au Parlement dans un hémicycle qui comptera 720 membres issus des 27 États membres de l’Union.
Le Parlement européen est une institution clé de l'Union européenne, jouant un rôle central dans le processus décisionnel et législatif.
Contrôle de la commission européenne, vote du budget et des lois européennes.
Dans cet épisode, nous expliquons le rôle du Parlement européen, son fonctionnement et les enjeux auxquels il est confronté, en particulier face à la montée en puissance de partis eurosceptiques.
Des enjeux à connaître avant l’élection
Élus pour cinq ans au suffrage universel direct, les parlementaires européens auront à se prononcer sur des sujets majeurs. Des votes décisifs, bien qu’ils ne soient pas à l’initiative des projets de loi que l’on appelle des directives.
Ce rôle d’initiative est dévolu à la commission européenne.
Le pouvoir législatif du Parlement a été renforcé, mais il est partagé avec le Conseil de l’Union européenne qui réunit les ministres de chaque État membre. Ce processus s’appelle la codécision.
Parmi les enjeux centraux, nous explorons le thème du financement de la transition écologique, la défense militaire européenne et la politique d’asile et de migration.
Pour tout comprendre des enjeux du vote, de manière claire et sans esprit partisan, rejoins-nous dans cet épisode de Soluble(s) !
- Écouter le podcast Trait d’Union : https://podcasters.spotify.com/pod/show/traitdunion
- Suivre sur Instagram : https://www.instagram.com/traitdunion_podcast/
Voir aussi : elections.europa.eu
00:00 Introduction
01:50 Le parcours d’Audrey Vuetaz
05:17 Les élections européennes en un seul tour
07:12 Les eurodéputés ne siègent pas par nationalité
09:36 Budget et contrôle de la commission européenne
12:47 Dans notre quotidien, la politique européenne de cohésion
14:40 Asile et migration et le Parlement européen
15:38 Quel pouvoir législatif pour le Parlement européen ?
20:54 La médiatisation de la politique européenne
23:15 La question d’une défense européenne commune
24:37 Les choix pour financer la transition écologique
25:37 Les partis populistes et eurosceptiques
26:42 Le podcast Trait d’Union rend accessible les enjeux et les coulisses de l’Union européenne
31:21 Merci Audrey Vuetaz !
Fin
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Des solutions pour avoir de la répartie écologique - Avec Margot Jacq
lundi 6 mai 2024 • Durée 29:56
La bataille contre le réchauffement climatique passe aussi par les mots. Des personnes propagent des thèses climatosceptiques ou des idées “éco-dénialistes”, ces thèmes peuvent surgir lors d’un repas de famille, à la machine à café de l’entreprise, sur les réseaux sociaux ou dans le champ politique. Margot Jacq, 26 ans, a voulu “s’outiller” pour mieux faire face à ce type de discours, car elle pense que pour agir face à l’urgence écologique, il faut “au préalable en être convaincu”.
Et sur ce point, on observe que la part de Français remettant en cause l’origine humaine du réchauffement climatique actuel est en augmentation selon une récente étude.
Soluble(s) reçoit l’auteure du “Petit manuel de répartie écologique”, un livre très concret qui se présente sous la forme d’un petit guide qui propose 35 réponses pour déconstruire des discours anti-écologiques que l’on entend fréquemment… et qui peuvent mener à l’inaction, selon elle.
Margot Jacq, qui travaille en collectivité locale et qui est par ailleurs engagée pour la transition écologique, a proposé cet ouvrage dans l’objectif de “décortiquer certaines idées reçues, apporter des faits scientifiques et proposer des alternatives au modèle actuel pour ouvrir le champ des possibles sur un monde désirable, plus juste et plus respectueux du vivant”.
Dans cet épisode, nous échangeons sur certaines répliques qui reviennent souvent aux oreilles de Margot sur le terrain ou dans le débat public.
Des “nouveaux sceptiques” aux “optimistes candides”, Margot Jacq a catégorisé ces 35 répliques selon différents types de profils de personnes, elle en dénombre six pour les besoins de l’exercice de rédaction de son manuel :
- les nouveaux sceptiques
- Les immobilistes
- Les eco(nomico)anxieux
- Les optimistes candides
- Les techno-solutionnistes
- Les dissonants cognitifs (qui ont perçu l’urgence, mais n’agissent pas assez en conséquence)
Écoutez cet épisode instructif qui questionne nos mots et discours sans émettre d’injonctions !
En 2023, la proportion de climatosceptiques avait augmenté de près de six points sur trois an en France, pour atteindre 37 % des Français qui doutaient de l’origine anthropique du dérèglement climatique, selon une étude d’opinion réalisée conjointement par EDF et l’institut de sondage Ipsos. (Obs’COP).
Une croyance en contradiction avec le consensus scientifique fondé sur des milliers d’études.
- Lire : “Petit manuel de répartie écologique” par Margot Jacq - Editions "Les liens qui libèrent".
00:00 Introduction
01:26 Le parcours de Margot Jacq
02:45 Un moment déclencheur pour écrire son livre
04:09 Des sources scientifiques et vérifiées pour parler “au cœur et à la raison”
05:48 Les nouveaux sceptiques face au changement climatique
08:17 + 3 degrés, la confusion entre Climat et météo
11:01 L’écologie punitive, vraiment ?
13:45 “Qui aurait pu prédire la crise climatique ?” Emmanuel Macron (31 décembre 2022)
16:25 Les petits gestes écologiques et leur utilité
19:52 Qui sont les éco(nomico)anxieux selon Margot Jacq ?
23:32 Les techno-solutionnistes
25:32 La dissonance cognitive
27:40 L’écologie et le dialogue entre les gens
29:11 Merci à Margot Jacq !
Fin
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IA, BIG DATA, SATELLITE, LiDAR : Quand les données numériques se mettent au service de la biodiversité
lundi 29 avril 2024 • Durée 19:18
Il crée des outils numériques pour accélérer la préservation de la biodiversité à l’heure où une sixième extinction de masse est redoutée et que l’alarme de l’urgence climatique a sonné.
Un changement d’échelle bienvenue pour découvrir, inventorier et décrire le vivant quand on sait qu’une partie de ces espèces menacées ne sont tout simplement pas encore connues.
Depuis 2008, Olivier Rovellotti, ingénieur informatique, développe sa société Natural solutions autour du concept de “naturaliste augmenté”.
Des services qui captent, stockent et font parler les données pour aider à prendre des décisions écologiques ou sensibiliser le public.
Pour Soluble(s), ce spécialiste des données numériques détaille les bénéfices que peuvent apporter ces technologies, plus souvent décriées pour leur impact environnemental que pour leur plus-value.
Intelligence artificielle, images satellites, bases de données et LiDAR (télédétection par laser) sont des outils qui peuvent être mis au service de la gestion du patrimoine naturel ou permettre la création d’applications à destination du grand public. Des citoyens, touristes ou randonneurs qui grâce à leur smartphone peuvent apprendre et se transformer à leur tour en “capteurs” volontaires pour inventorier la biodiversité autour d’eux.
Basée à Marseille dans le sud de la France, Natural Solutions collabore essentiellement avec des collectivités ou structures publiques pour qui la société conçoit des outils numériques spécifiques qui les aident à prendre des décisions.
Dans cet épisode, nous parlons de la gestion du patrimoine arboré des villes.
La plantation d’arbres en ville, particulièrement prisée dans la lutte contre les ilots de chaleur, peut s’avérer redoutablement complexe dans sa mise en œuvre, vous entendrez pourquoi.
Nous évoquons aussi les apports de l’intelligence artificielle et le rôle des citoyens dans la préservation de la biodiversité qui peuvent se saisir d’applications pour apprendre à la connaître ou expérimenter leur savoir dans la nature.
TIMECODES
00:00 Introduction
01:19 Le parcours d’Olivier Rovellotti
02:48 Biodiversité : Vers une sixième extinction de masse ?
04:46 Écologie et Big Data
08:02 Des outils numériques pour augmenter notre capacité de connaissance
09:58 Atlas de la biodiversité : ça sert à quoi ?
12:53 L’arbre en ville, un casse-tête pour les aménageurs
15:04 Les différences de culture numérique et écologique dans le monde
17:38 A Marseille, l’application ecoBalade pour découvrir la biodiversité lors de randonnées
18:24 Merci à Olivier Rovellotti
Fin
ALLER PLUS LOIN
Suivre Olivier Rovellotti sur LinkedIn https://www.linkedin.com/in/olivierrovellotti/
Le site de Natural Solutions https://www.natural-solutions.eu/
Les applications citées dans l’émission :
Ecoteka, l’outil pour la renaturalisation des villes / EcoBalade
L'atlas de la faune et de la flore du Parc national des Écrins
BirdNET l’application mobile pour reconnaître les oiseaux à partir de leur chant https://play.google.com/store/apps/details?id=de.tu_chemnitz.mi.kahst.birdnet&pcampaignid=web_share
Voir aussi : Le recif, le tiers-lieu marseillais, un coworking dédié aux acteurs de l’environnement https://www.le-recif.org/
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C'est quoi cet hydrogène naturel qui pourrait jouer un rôle intéressant dans la transition énergétique ?
lundi 22 avril 2024 • Durée 28:08
Présenté comme le Graal énergétique par ses plus farouches promoteurs, l’hydrogène naturel va-t-il bousculer notre transition énergétique pour faire fonctionner un monde neutre en carbone ?
L'hydrogène naturel, également connu sous le nom d'hydrogène blanc, commence à être considéré comme une source d'énergie d'avenir dans le cadre de la transition énergétique. Ce gaz, présent naturellement dans certaines régions du globe, pourrait jouer un rôle intéressant dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la diversification de notre mix énergétique. Pour Soluble(s), Mikaa Blugeon-Mered détaille les atouts de cette énergie potentiellement disponible par milliards de tonnes dans les sous-sols de la planète, selon de derniers rapports très médiatisés.
Mais encore faut-il le trouver, le capter et le commercialer. Au-delà des éventuels effets d’annonce, plongée dans l’hydrogène naturel avec ce spécialiste de géopolitique et géoéconomie, enseignant à Sciences Po, HEC Paris et à l'Université Mohammed VI Polytechnique au Maroc.
Voici quelques repères en complément de l’épisode de Soluble(s)
L'hydrogène naturel est une forme d'hydrogène qui se trouve naturellement dans l'environnement, souvent piégé dans des réservoirs souterrains. Contrairement à l'hydrogène qui est produit à partir de combustibles fossiles, ou à l'hydrogène “vert”, qui est produit par électrolyse de l'eau à l'aide d'énergies renouvelables, l'hydrogène naturel ne nécessite pas de processus de production énergivore. Il est donc potentiellement plus respectueux de l'environnement et du climat en n’émettant pas de CO2 lors de son utilisation.
Le rôle de l'hydrogène naturel dans la transition énergétique est multiple. Tout d'abord, il peut être utilisé comme source d'énergie propre. Lorsqu'il est brûlé, l'hydrogène ne produit que de l'eau, ce qui en fait une alternative intéressante aux combustibles fossiles. De plus, il peut être converti en électricité à l'aide de piles à combustible, offrant ainsi une solution de stockage d'énergie efficace et écologique.
En outre, l'hydrogène naturel pourrait contribuer à la décarbonation de l'industrie.
« La France peut devenir un pays pionnier pour la production de cette énergie du futur », avait déclaré le président français Emmanuel Macron fin 2023 en promettant des « financements massifs » pour explorer son potentiel.
A travers le monde, des forages ont débuté en Australie ou aux États-Unis, mais un seul site localisé au Mali produit actuellement de l'hydrogène naturel. Aux Philippines, à Oman, au Mali, en Colombie, au Maroc, au Brésil ou encore au Groenland, l’hydrogène naturel intéresse fortement.
En France, un permis d’exploration a été attribué en novembre 2023 dans les Pyrénées-Atlantiques au Sud-Ouest de la France.
Cependant, l'exploitation de l'hydrogène naturel n'en est qu'à ses éventuels débuts et ne pourra pas devenir une source d’“énergie miracle”.
Ecoutez cet épisode pour tout comprendre des enjeux actuels qui entourent l’hydrogène naturel.
POUR ALLER PLUS LOIN
Suivre Mikaa Blugeon-Mered sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/mikaabm/
TIMECODES
00:00 Introduction
01:20 Le parcours de Mikaa Blugeon-Mered
03:59 Les types d’hydrogène exploités selon leur impact carbone
07:59 L’hydrogène naturel, mode ou intérêt légitime ?
12:12 L’hydrogène pour parvenir à la neutralité carbone
16:41 L’hydrogène naturel moins cher en moyenne que celui qui est manufacturé ?
20:16 L’hydrogène naturel et la France
23:30 Les infrastructures nécessaires
27:20 Merci à Mikaa Blugeon-Mered
Fin
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La fresque du climat, l'atelier viral qui crée un déclic en jouant - Avec Nicolas Froissard
mardi 2 avril 2024 • Durée 24:18
La Fresque du Climat a su modifier notre façon d'appréhender les enjeux climatiques. Cet atelier collaboratif, créé par Cédric Ringenbach en 2018, a déjà séduit 1,5 million de personnes à travers le monde. Mais qu'est-ce qui rend cet outil si efficace ? Pour le savoir, le podcast Soluble(s) a ouvert son micro à Nicolas Froissard, “fresqueur” et nouveau directeur de cette association française.
La Fresque du Climat est un jeu de cartes qui permet de comprendre les mécanismes complexes du changement climatique. Les participants, répartis en équipes, doivent relier entre elles 42 cartes représentant les différentes composantes du dérèglement climatique. Liens de cause à effet. L'objectif est de créer une "fresque" qui illustre les causes et les conséquences du réchauffement climatique, ainsi que les solutions pour y remédier.
L'aspect ludique de la Fresque du Climat est un élément clé de son succès. En transformant un sujet complexe et souvent anxiogène en un jeu collaboratif, elle rend l'apprentissage plus agréable et plus accessible. Les participants sont activement engagés dans le processus d'apprentissage, ce qui facilite la compréhension et la mémorisation des informations.
Mais la Fresque du Climat ne se contente pas d'être un simple jeu. Elle a un impact réel sur la compréhension des enjeux climatiques et sur l'engagement des participants. En effet, en créant eux-mêmes leur fresque, les participants prennent conscience de l'interconnexion des différents éléments du changement climatique et de l'urgence d'agir.
L’atelier pédagogique a été conçu à partir des rapports scientifiques du GIEC, le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.
La Fresque du Climat, qui se déroule sur trois heures, favorise le dialogue et la réflexion collective.
Les participants sont encouragés à discuter, à débattre et à partager leurs idées, ce qui contribue à renforcer leur engagement en faveur de la transition écologique.
L'impact de la Fresque du Climat ne se limite pas aux participants. De plus en plus d'entreprises, d'écoles et de collectivités utilisent cet outil pour sensibiliser leurs employés, étudiants ou citoyens aux enjeux climatiques. En proposant une approche ludique et pédagogique, la Fresque du Climat contribue à créer une culture commune autour de la transition écologique.
Questions et réponses concrètes, pour tout savoir de cette solution diffusée en 45 langues dans 157 pays, je vous propose d’écouter ce nouvel épisode dans lequel on aborde aussi le profil des “fresqueurs” ces bénévoles ou personnes rémunérées qui animent les ateliers !
POUR ALLER PLUS LOIN
- Visiter le site de La Fresque https://fresqueduclimat.org/
- Suivre notre invité Nicolas Froissard sur Linkedin https://www.linkedin.com/in/nicolasfroissard/
TIMECODES
00:00 Introduction
01:16 Le parcours de Nicolas Froissard
02:29 Le jeu, une solution pour sensibiliser ?
03:48 La Fresque du climat est un atelier de pédagogie
05:04 Dérèglement climatique, cause à effet et ressenti
07:42 Les publics visés
10:43 Ne pas culpabiliser ?
12:27 Un développement exponentiel
14:51 Devenir fresqueur bénévole ou professionnel
16:20 Et pour les plus jeunes ?
18:06 Des élus et des fonctionnaires s’y mettent
19:49 Poursuivre l’internationalisation de la Fresque du Climat
23:12 Merci à Nicolas Froissard !
Fin
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⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
S'il t'a plu, note le podcast 5 étoiles, stp.
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[Spécial Podcasthon] Avec Reporters d’Espoirs pour des médias qui donnent envie d’agir
lundi 25 mars 2024 • Durée 27:32
L’information fait partie de la solution. Je vous propose de vous engager avec le podcast Soluble(s) pour soutenir l’ONG Reporters d’Espoirs.
En 2024, l’association se tourne encore plus vers la jeunesse (lire ci-dessous).
Merci !
Simon Icard
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Informer pour inspirer, informer sans désespérer les gens. À l’occasion du Podcasthon 2024, Soluble(s) s’engage avec “Reporters d’espoirs”, une association qui fête ses 20 ans en 2024, deux décennies d’actions concrètes "pour que l’information et les médias donnent envie d’agir."
Dans un monde où les médias sont souvent accusés de se concentrer exclusivement sur les mauvaises nouvelles, l'association française Reporters d'Espoirs émerge comme un phare d'optimisme et de changement. Cette organisation à but non lucratif a pour mission de promouvoir un journalisme constructif et responsable en mettant en avant des histoires positives et des solutions concrètes aux problèmes de notre société.
C’est cette association qui a initié le journalisme de solutions, dès 2004 et fait des émules dans le monde entier.
“Ce n’est pas une idéologie, c’est une méthode. Chacun peut s’en emparer comme il l’entend” indique Gilles Vanderpooten, directeur de Reporters d’Espoirs. « Le journalisme de solutions s’emploie à analyser et à diffuser la connaissance d’initiatives qui apportent des réponses concrètes, reproductibles, à des problèmes de société, économiques, sociaux, écologiques. »
Pour Soluble(s), Gilles Vanderpooten revient sur le contexte de défiance d’une partie du public envers les journalistes et les médias, et détaille les actions de l’association pour y remédier.
S’adresser à la jeunesse fait aussi partie de la solution, vous l’entendrez !
En 2024, Reporters d’Espoirs s’associe au CLEMI (Education nationale) pour l’éducation à l’information et aux médias à l’école.
L’association développe un programme de formation au journalisme de solutions sur plusieurs années, qui va toucher 2000 enseignants et 200 000 écoliers, collégiens, lycéens. “Il va mettre les jeunes dans la peau d’apprentis reporters pour les amener à s’intéresser aux acteurs de solutions dont les initiatives apportent des réponses à des problèmes écologiques, sociaux, économiques et culturels, dans leur environnement proche” nous confie Gilles Vanderpooten.
Reporters d’Espoirs agit avec les médias pour qu’ils diffusent la connaissance de réponses à des problèmes économiques, sociaux, écologiques.
Trois actions :
- des PRIX pour mettre à l’honneur jeunes, journalistes et innovateurs
- un LAB pour étudier et accroitre l’impact des médias
- une REVUE pour diffuser l'inspiration.
La précommander est un formidable moyen d’aider “Reporters d’Espoirs” à financer ses projets :
Ces jeunes qui font la « Génération solutions »
148 pages
- le site : reportersdespoirs.org
- Le site du Podcasthon, le premier rassemblement caritatif des podcasts francophones propulsé par l'association AltruWe.
Pour la 2e édition, + de 450 podcasteuses et podasteurs s'engagent pour une association de leur choix : podcasthon.org
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Qu’est-ce que le CDD tremplin qui permet aux travailleurs handicapés de rebondir vers un emploi durable ?
lundi 18 mars 2024 • Durée 19:35
Depuis le 1er janvier 2024, le CDD Tremplin est inscrit dans le Code du travail. C’est un parcours pour surmonter une partie des obstacles qui se trouvent sur le chemin des personnes handicapées dans leur accès à l’emploi. Soluble(s) fait le point sur ce dispositif spécifique qui conjugue contrat de travail à durée déterminée et accompagnement individualisé.
Un accompagnement vers de nouveaux postes, particulièrement nécessaire lorsque la survenue d’un handicap contraint le plus souvent à se réinventer professionnellement.
Un dispositif de lutte contre le chômage, pour rebondir et faire changer les regards de certains recruteurs sur le handicap dans le monde du travail.
Les personnes handicapées représentent 7,1 % de la population en âge de travailler, mais seulement 4,0 % des personnes en emploi.
Le CDD “tremplin” a été généralisé en France après une période d’expérimentation. Il permet aux travailleurs handicapés au chômage de bénéficier d'un accompagnement individualisé renforcé pour une meilleure insertion professionnelle.
Un outil supplémentaire qui ambitionne aussi de faire changer les regards des recruteurs qui sont 62 % à percevoir comme “difficile” l’embauche d’un salarié porteur d’un handicap.
Démontrer que c’est possible. Soluble(s) s’intéresse à cette solution inclusive avec Nathalie Barreault. Elle est la directrice des ressources humaines de STD Pro, une entreprise adaptée spécialisée dans les services de dématérialisation numérique depuis 2009 et qui s’est saisie du CDD tremplin dès sa phase d’expérimentation en 2019. Une société qui collabore avec des entreprises partenaires qui leur expriment leur besoin de compétences.
Une entreprise adaptée est une entreprise à part entière, qui permet à des personnes reconnues « travailleurs handicapés » d’exercer une activité professionnelle salariée dans des conditions adaptées à leurs besoins et possibilités. Elle emploie au moins 55 % de salariés handicapés dans ses effectifs de production.
C’est avec ce type d’entreprise qu’il est possible de signer un CDD tremplin, un contrat de travail à durée déterminée (4 à 24 mois) d'insertion spécifique aux entreprises adaptées. Il permet au salarié de bénéficier d'un accompagnement individualisé.
En quatre ans, 80 salariés ont été recrutés avec le CDD Tremplin par STD Pro, puis formés et suivis en situation de travail dans des entreprises du territoire.
Pour aller plus loin, STD Pro qui est basée dans les quartiers nord de Marseille, lance un « Parcours d’information et d’accompagnement » destiné aux responsables RH et dirigeants de grandes entreprises du territoire Aix-Marseille-Provence.
- Voir le site du “parcours d’information et d’accompagnement" destiné aux responsables RH et dirigeants de grandes entreprises du territoire Aix-Marseille-Provence mis en place par STD Pro www.inclusionautravail.com
00:00 Introduction
01:15 Le parcours de Nathalie Barreault
02:38 Des biais cognitifs chez les recruteurs
03:53 Observations de terrain
05:30 Le CDD tremplin, c’est quoi ?
08:09 Quels critères pour signer un CDD tremplin ?
09:03 Salaires, temps de travail
10:22 STD Pro est une entreprise adaptée
14:16 Un nouveau parcours d’information pour les grandes entreprises
16:54 Et chez STD Pro, quelle inclusion des travailleurs handicapés ?
18:52 Merci à Nathalie Barreault !
Fin
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