Parlons B. – Détails, épisodes et analyse

Salut ! Ça fait un moment que je ne vous ai pas parlé ici. Si vous avez loupé l’info, sachez que c’est parce que j’ai lancé un deuxième podcast sur la musique et la poésie qui s’appelle Vous avez un MP. Mais rassurez-vous, l’idée n’était pas d’arrêter parlons B. Juste de prendre un peu plus mon temps. Et ça m’a plutôt réussi car, je suis vraiment très heureuse de revenir vers vous avec une nouvelle invitée que j’admire depuis quelques années maintenant pour ne pas dire presque 20 ans. Elle est Corse et s’est fait connaître par ses croquis de looks à une époque où les mots « blogueur » et « influenceur » ou « créateur de contenu » n’existaient pas encore. Je pense pouvoir affirmer qu’elle a largement contribué à ce nouveau monde tout en gardant son extrême authenticité. Vous l’avez surement deviné, il s’agit bien de Garance Doré. Et si elle est dans parlons B. c’est parce qu’elle a délaissé le monde de la mode pour celui de la beauté en lançant sa marque aux formules courtes et très efficaces : Doré. Ensemble nous avons parlé de son parcours bien sûr mais aussi de burn out, de l’importance de s’écouter et de s’avoir s’arrêter et d’hydratation. Bonne écoute !

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Et si vous voyiez le sport comme un moyen de vous faire du bien et non comme une contrainte ? Comme une solution viable pour prendre soin de son mental et de son corps sans forcément penser à un quelconque objectif ? Dit comme ça, cela peut sembler évident pour certaines et certains et pour d’autres, beaucoup moins. Julie Granger est une coach et prof de yoga avec laquelle j’ai adoré échanger. Elle a commencé en étant danseuse classique, discipline exigeante qu’elle a commencé tardivement comparativement aux autres danseurs et danseuses profesionnel.les. Signe certain de sa détermination, cette dernière est ensuite devenue une entrepreneur en créant The Studio Paris et coach renomm ée à New York notamment où elle officie au très réputé Equinox. Son parcours est aussi passionnant que motivant. Ensemble, nous avons parlé de l’importance du mouvement pour se sentir bien et donc vivant, de discipline, de rigueur, de motivation et de nature. Bonne écoute ! 

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Ah le bien-être ! Une grande histoire depuis une petite dizaine d’années. Quand j’ai commencé le journalisme en beauté, je suis arrivée à l’explosion de ce mot et au fait que l’on ne parle plus de beauté sans évoquer la notion de bien-être. C’est simple, ce marché est l’un des plus exponentiels qui soit. Le créneau méditation et sport par exemple représenterait à lui seul plus de 500 milliards de dollars. Cet essor a favorisé la conscience de prendre soin de soi, la démocratisation des sujets de santé mentale etc. Mais il se peut aussi que vous vous soyez senti.e obligé.e d’aller bien, d’entretenir votre bien-être, d’aller faire du yoga avec plaisir mais de ne pas être à l’aise dans la salle pour de multiples raisons (manque de représentativités et diversités, élèves aux profils physiques et vestimentaires très similaires, appropriation culturelle etc.). J’ai moi-même probablement contribué à ça tant dans ma vie pro avec des articles très portés sur le sujet que dans ma vie perso. Mais je reconnais ressentir une gêne depuis quelques années. Et cet été, j’ai enfin lu le brillant livre « Politiser le bien-être » de Camille Teste publié dans la collection Sur la Table de Binge. J’ai tout simplement adoré et je me suis exclamée : enfin ! Camille est une ancienne journaliste qui est devenue prof de yoga. Je me suis donc empressée de la contacter à la rentrée et nous voilà à parler par caméras interposées. Ensemble, nous avons discuté d’injonctions, des choses qui ne vont pas dans le bien-être, des pistes à creuser pour améliorer tout cet univers qui fait du bien par ailleurs et de son futur podcast. Bonne écoute ! 

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Aujourd’hui l’approche retail de la cosmétique est en train de connaitre un véritable changement et c’est une bonne chose. Parmi les personnes les plus actives dans ce renouveau nécessaire : Juliette Levy, la fondatrice d’Oh My Cream. Visionnaire parce qu’à l’écoute de ses envies et des besoins des personnes qui l’entourent, elle a su repenser le temple de la beauté qui répond aux valeurs de notre époque tout en redonnant ses notes de noblesse aux conseillères beauté. Sous des codes ultra féminins assumés, elle propose avec une équipe savamment choisie une sélection de produits triés sur le volet et une écoute clientèle personnalisée. Jeune, fun, dynamique et accessible, cette maman de bientôt deux enfant nous raconte son parcours inspirant. Bonne écoute !  

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Historiquement, Octobre rose est une campagne annuelle américaine qui a vu le jour en 1985 sous l’initiative de l’American Cancer Society et l’entreprise Imperial Chemical Industries. En France, la première campagne de sensibilisation à eu lieu en 1994 sous l’impulsion du groupe Estée Lauder et du magazine Marie Claire. Depuis et chaque années, en octobre les monuments se parent de rose, les vestes affiches un ruban rose, les marques de cosmétiques reversent des fonds. Le cancer du sein est une maladie qui touche de très nombreuses femmes chaque années mais c’est aussi celui qui se guérit de mieux en mieux. Néanmoins, quand on passe par là tout change. La vie est bouleversée. Votre corps vous trahit pour reprendre des mots que j’ai personnellement entendu. Il faut revoir son quotidien mais aussi ses routines de beauté et de bien-être. Avec Judith fondatrice de Même cosmetics, Aude créatri ce de l’association Elles dansent et Julie à la tête des Franjynes nous avons parlé ensemble de l’importance des soins de support qui sont, en réalité, très récents et commencent seulement à être pris en compte sérieusement autant par les professionnels de la santé que les malades eux-mêmes. La beauté peut sembler superficielles mais elle peut être salvatrice à bien des égards. Bonne écoute !

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La chirurgie esthétique est un sujet très vieux, un peu moins tabou dernièrement car plus démocratisé mais il reste autant sollicité que décrié. Pour en parler, j’ai invité Isabelle Sansonetti, journaliste pendant près de 20 ans au magazine ELLE. Isabelle y a fait de cette thématique sa marotte. A tel point qu’elle a sorti un livre « J’y vais j’y vais pas » aux éditions Lattès. C’est un recueil extrêmement documenté et particulièrement clair à propos de la chirurgie, de la médecine esthétique et de toutes interventions qui existent. Ensemble, nous avons donc parlé rhinoplastie mais aussi confiance en soi, dysmorphophobie et du métier de journaliste beauté, évidemment. Bonne écoute !  

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Bienvenue dans la chronique de parlons B. Le but ? Allez au coeur d’un sujet précis pour en ressortir plus savant et savante que jamais, quelques vendredis par mois. Ce sera parfois technique ou poétique ou les deux à la fois mais promis, à la fin, vous aurez tout compris !

Je ne sais pas vous, mais moi, j’aime comprendre le fonctionnement des choses y compris celui de ma peau car pour desceller ce dont elle a besoin vraiment, savoir comment elle marche, peut être utile. Nous avons creuser le sujet avec Laure Bouscharain responsable Recherche et développement au sein de Biologique Recherche. Avec cette prestigie maison nous allons parler épiderme, derme, hypoderme mais aussi collagène, firboblastes et autres petites cellules aux noms surprenants afin de vous donner toutes les clés pour prendre soin au mieux de votre peau. Bonne écoute ! 

L'épisode a également été traduit en anglais.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur @parlonsbpodcast et @biologique_ recherche 

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La maternité est un sujet vaste qui implique aussi les notions de beauté et de bien-être. J’ai voulu aborder cette thématique lors du pop-up car je me suis dit qu’avoir des avis d’auditrices, en live, pouvait être super intéressant et c’est ce qu’il s’est passé. Audrey Hababou fondatrice de la marque Daylily et son mari sage-femme, Fabien, ont répondu à mes questions mais aussi à deux d’entres vous. J’ai volontairement coupé le prénom de l’une d’elle qui tient à rester dans sa bulle privée de la grossesse mais ça ne l’a pas empêchée de nous dire de soulever des points passionnants. On a parlé ensemble de vergetures, massage à deux, de postpartum et de tas d‘autres choses. Bonne écoute ! 

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C’est l’histoire d’une rencontre, d’une alchimie entre une maison séculaire et un parfumeur libre. L’entreprise historique Cire Trudon devenue Trudon est célébrée dans le monde entier pour ses bougies mais elles possèdent également des parfums d’exceptions. Pour cette rentrée, elle en propose un nouveau au nom enchanteur et énigmatique : Aphélie. Car il a beau être féminin, le jus est mixte. Il a beau être une ode à la femme, les notes choisies sont tirées d’un catalogue dit plus masculin. Et pour cela, Julien Pruvost, directeur de la création chez Trudon a fait appel à Antoine Lie, parfumeur indépendant. Ensemble, nous avons parlé parfum de peau, besoin de se défaire des codes un peu trop uniforme de la parfumerie, de liberté et d’odeur de doudou aussi. Bonne écoute ! 

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Pour ce nouvel épisode, quoi de mieux que d’écouter pour la rentrée une femme captivante au parcours inspirant ? Cette semaine, place à Gaëlle Lebrat Personnaz, cette wonderwoman qui, à l’origine, trouvait « la beauté futile » pour reprendre ses mots mais a fini par cumuler les jobs dont un en beauté : fondatrice de Manucurist, une marque de vernis green et clean absolument canon à base de pomme de terre ou fécule de maïs. Elle est aussi mère et épouse d’une grande famille de cinq enfants, rien que ça. Bonne écoute !

Ca y est, on y est presque ! Le pop up aura lieu le 11 et 12 septembre soit ce week-end. Ca se passe au Green Club chez Gaëlle, au 19 rue d’engin. Vous pouvez retrouver les infos (marque, atelier, enregistrement de podcast) sur le compte Instagram @ParlonsBPodcast ou ici : https:// marcellelewebzine.com/le-pop-up 

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