Ces voix qu'il faut entendre – Détails, épisodes et analyse

Jeanne Henin a installé “Le bureau des mots*” dans cette émission, au cœur du festival des podcasts et de la création sonore de Marseille, la Claque Podcast Party. 

Dans cette salle transformée en studio, l’autrice du dictionnaire de néologismes “Les mots qu’il nous faut” se situe à ma gauche, à la sienne un micro est prêt à accueillir un membre du public, un quatrième micro va circuler parmi l’audience. 

Le public de l’édition 2024 du festival était invité à assister à cette performance participative qui voyage en France dans des lieux publics depuis 2022. 

L’objectif du bureau des mots est d’offrir un espace aux gens pour raconter leurs expériences et exprimer leur ressenti face à l’urgence écologique ou aux crises sociales. 

Écouter aussi : ma conversation avec Jeanne Henin dans l'épisode précédent

Vous allez l’entendre, les émotions ont trouvé un espace accueillant pour s’exprimer. 

Un nouveau mot va-t-il advenir ? 

Je m’appelle Simon Icard et je vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !

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Je tiens à remercier ce formidable public pour sa participation généreuse ainsi que les bénévoles du festival. 

Merci à La Claque Podcast Party pour son invitation et un salut particulier à Laure Sari pour la programmation de ce podcast qui aurait pu être rebaptisé, pour un jour, ce 7 juin 2024, ces “mots” qu’il faut entendre !

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POUR ALLER PLUS LOIN 

Suivre sur Instagram :

• Le bureau des Mots https://www.instagram.com/le.bureau.des.mots/

• Jeanne Henin https://www.instagram.com/jeannehenin/ 

Lire :

• « Les Mots qu'il nous faut » - Jeanne Henin aux éditions La mer salée (en librairie) https://www.lamersalee.com/les-livres/les-mots-qu-il-nous-faut 

TIMECODES

00:00 Ambiance 

01:30 Introduction

03:37 Coup d’envoi du bureau des mots 

04:59 Le public est invité à penser à une expérience personnelle avec la crise écologique ou sociale. 

07:53 Les témoignages du public (100 % féminin ce jour-là)

14:33 Une spectatrice est invitée sur scène pour détailler son ressenti avec Jeanne Henin, le public participe régulièrement.

35:37 Conclusion 

Merci au public qui n’a pas manqué de mots et à Jeanne Henin !

Fin 

Dans l'épisode précédent retrouvez ma conversation avec Jeanne Henin : Crise écologique et sociale - “Les mots qu’il nous faut”.

*Le bureau des mots d'après l'œuvre participative "The Bureau of linguistical reality"

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Ces voix qu’il faut entendre, c’est un podcast qui donne la parole à ces gens qui nous font réfléchir, nous aident à mieux comprendre le monde et notre époque.

Des lanceurs d’alerte, des experts ou de simples témoins avec qui je souhaite dialoguer. 

Ils nous bousculent parfois, nous surprennent toujours et cela ne laisse jamais indifférent !

Abonnez-vous pour ne manquer aucun nouvel épisode. 

Je suis sensible à vos retours et je ne trouve pas les mots lorsque vous mettez 5 étoiles à ce podcast indépendant. 

⭐

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Avez-vous les mots pour décrire votre ressenti face à la crise écologique et sociale ? 

Aujourd’hui, je reçois Jeanne Henin, elle a 44 ans et habite à Marseille. Cette autrice qui a toujours travaillé dans le domaine de l’environnement s’intéresse tout particulièrement à ce qui fait changer les gens, ce qui les met en mouvement et les décide à agir. 

Pour elle, la science et la connaissance ne suffisent pas. Elle regrette le manque d’espace laissé aux émotions, au ressenti. 

Alors cet espace, elle l'a crée, vous allez l’entendre.

Dans cet épisode en deux parties, Jeanne ne manque pas de mots pour décrire la crise écologique et sociale et le langage qui l’accompagne. 

Mais à titre individuel, des mots manquent parfois, elle les appelle, des mots qu’il nous faut, un vocabulaire qui pourrait aider à porter de nouveaux récits et répondre à des “mots qui nous mentent”.

Des mots qui n’existent pas toujours et qu’elle invite les participants de la performance du Bureau des mots* à rechercher à partir de leur propre expérience. 

Son bureau qu’elle balade de ville en ville et déploie dans des espaces publics, depuis 2022, elle l’a installé dans cette émission au cœur du festival des podcasts de Marseille. 

Vous pouvez y assister en écoutant la seconde partie ! 

Alors ne tardons plus, questionnons les mots et leur utilisation, parlons des émotions qui la traversent et écoutons son histoire. 

Je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode !

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• Jeanne Henin https://www.instagram.com/jeannehenin/ 

Lire :

• « Les Mots qu'il nous faut » - Jeanne Henin aux éditions La mer salée (en librairie) https://www.lamersalee.com/les-livres/les-mots-qu-il-nous-faut 

*Le bureau des mots d'après l'œuvre participative "The Bureau of linguistical reality"

TIMECODES

00:00 Introduction 

02:13 Jean Henin est l’autrice du dictionnaire Les mots qu’il nous faut 

03:46 Son parcours 

06:21 Ses émotions 

08:23 « La peine de l’irréparable »

09:39 Une obsession pour l’écologie ? 

12:33 Les mots sont-ils toujours « politiques » ?

16:14 À propos de la notion d’écoterrorisme 

16:56 Les émotions 

21:02 Le bureau des mots 

26:12 Lumiluter 

27:27 asSUVir 

29:14 Burn’âme

32:04 Les sauveterre 

33:33 Femidoute 

39:46 Créer un espace et un lieu sûr

42:09 Merci a Jeanne Henin !

42:24 Retrouvez le live du bureau des mots dans l’épisode suivant 

Fin 

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Ces voix qu’il faut entendre, c’est un podcast qui donne la parole à ces gens qui nous font réfléchir, nous aident à mieux comprendre le monde et notre époque.

Des lanceurs d’alerte, des experts ou de simples témoins avec qui je souhaite dialoguer. 

Ils nous bousculent parfois, nous surprennent toujours et cela ne laisse jamais indifférent !

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⭐⭐⭐⭐⭐

Je suis sensible à vos retours et je ne trouve pas les mots lorsque vous mettez 5 étoiles à ce podcast indépendant !

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Dans l'épisode suivant l'enregistrement Live du Bureau des mots réalisé le 7 juin 2024 au festival La Claque Podcast Party

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La technologie est-elle la solution face au changement climatique ? L’éco-aventurier répond oui en partie. 

Dans cet extrait, Raphaël Domjan, éco-explorateur suisse et instigateur de SolarStratos un avion solaire électrique conçu pour atteindre la stratosphère, m’explique pourquoi il croit autant dans l’énergie solaire comme outil essentiel dans notre transition énergétique et écologique.

Pour lui, la technologie et le recours à cette électricité renouvelable et peu onéreuse sont une solution, mais cela ne nous dispense pas d’une prise de conscience et d’une évaluation de l’impact carbone de choix au quotidien. 

Si vous avez apprécié cet extrait, je vous recommande d’écouter l’épisode 13 de Ces voix qu’il faut entendre dans lequel “Raphaël Domjan me raconte sa quête solaire de la stratosphère (SolarStratos)”

https://linktr.ee/cesvoixpodcast

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Grossophobie. Très tôt, Marie de Brauer a pris conscience de son poids. Le regard des autres, les vêtements pour enfants dont la taille exprimée en années sur l’étiquette ne collait pas avec son âge. Lors de ses études de journalisme, Marie de Brauer a appris l’existence de la grossophobie, depuis elle s’engage pour lutter contre cette discrimination et visibiliser les personnes grosses. 

Elle raconte son histoire dans une bande dessinée drôle et touchante, illustrée par Lucy Macarony parue aux éditions LeDuc. 

Aujourd’hui, je reçois Marie de Brauer, elle a 28 ans et habite à Paris. 

Marie est une journaliste, et elle s’engage pour visibiliser les conséquences de la grossophobie.

La grossophobie est au cœur de son histoire. Son histoire, elle la raconte, entre une enfance joyeuse et le regard parfois méchant des autres et de la société sur son corps, elle aurait pu fléchir, mais elle a décidé de “ne jamais couler”, c’est le titre de sa bande dessinée. 

Elle déplore et dénonce cette injustice de naître dans un corps plus gros que la norme, mais a cheminé pour l’accepter et poursuivre ses rêves. 

Dans cet épisode, je veux en savoir plus sur Marie et ses ressorts. 

Nous parlons de cette discrimination qui peut s’exprimer dans les plus petites choses du quotidien comme dans la représentation médiatique du corps des hommes et des femmes, nous évoquons l’amour, la sexualité et les solutions pour contrer la grossophobie. 

Je m’appelle Simon Icard et je vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode ! 

POUR ALLER PLUS LOIN

Lire :

• La BD “Ne jamais couler” de Marie de Brauer (illustrations Lucy Macarony - Ed. LeDuc) https://www.editionsleduc.com/produit/3036/9791028525507/ne-jamais-couler 

Voir :

• “La grosse vie de Marie” https://www.france.tv/slash/la-grosse-vie-de-marie/ 
• “Camille cherche l’amour” https://www.france.tv/slash/camille-cherche-l-amour/ 

Suivre :

• Marie de Brauer sur les réseaux sociaux et écouter ses podcasts “Tourista” et “Comment tu dates ?” https://linktr.ee/mariedebr 

TIMECODES 

00:00 Introduction 

01:38 Marie de Brauer est journaliste et réalisatrice

02:20 Ses différentes casquettes professionnelles

03:29 Dans quel milieu familial a-t-elle grandi ? 

04:27 La question du poids et du corps est arrivée tôt 

05:36 Régime : La première fois que Marie a entendu ce mot

07:19 Les bonbons et l’argent de poche 

09:40 L’adolescence et ses rêves

10:45 La grossophobie intériorisée

13:06 “La grossophobie, elle est partout, tout le temps, mais tout le monde s’en fout !” 

14:44 Des exemples de la grossophobie dans le quotidien 

16:49 Nommer la grossophobie 

19:04 Le milieu médical et la grossophobie

22:06 La fétichisation des personnes grosses 

24:10 Le féminisme 

25:42 Sur quoi agir pour contrer la grossophobie 

27:32 L’acceptation de soi 

31:01 La question bonus : quelle voix Marie de Brauer nous recommande ? 

32:25 Les podcasts et l’actu de Marie 

33:03 Merci à Marie de Brauer ! 

Fin  

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À bientôt, Simon.

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Amour, sexualité et féminisme. Marie de Brauer dénonce la fétichisation des personnes grosses dans la sphère intime. Cette expression de la grossophobie l’a touchée personnellement. 

L’auteure de “Ne jamais couler”, une bande dessinée autobiographique parue aux éditions LeDuc, revient sur les injonctions faites sur le corps des femmes qui est “épié”.

Marie de Brauer, qui estime que le combat féministe doit mieux prendre compte la lutte contre la grossophobie, a trouvé dans ces mouvements des éléments qui l’ont aidé à se dire que correspondre à la définition normée de la beauté n’était pas un objectif de vie, “ce n’est plus du tout mon problème !” confie-t-elle.

Écoutez. 

Si vous avez aimé ce passage de l’émission, je vous propose d’écouter l’épisode 12 de “Ces voix qu’il faut entendre” en intégralité ! 

Simon 

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Utopie ? L’économiste Timothée Parrique détaille sa vision d’une démocratie économique. Pour lui, remédier aux injustices économiques et sociales qui se creusent de plus en plus entre nord et sud et entre ultra-riches et ultra-pauvres dans les sociétés économiquement développées nécessite de procéder à une réinvention totale de notre modèle de société. 

Le chemin qu’il propose passe par la décroissance économique, une voie qui prend acte d’un monde aux ressources limitées à l’heure de la lutte contre le réchauffement climatique et de la crise de la biodiversité. 

Aujourd’hui, je reçois Timothée Parrique, il a 33 ans et vit en suède 

Timothée est chercheur en économie écologique. 

Sa conseillère d'orientation lui avait parlé du métier de directeur de casino, en entrant à l’université, il pensait en sortir et tout casser sur les marchés financiers, faire énormément d’argent, mais il s’est plutôt dirigé dans la voie d’un changement de modèle. De modèle économique. Sa thèse sur la décroissance et son livre “Ralentir ou périr (Ed. Seuil) proposent un chemin vers un autre société.  

Dans cet épisode, je veux en savoir plus sur ce qu’est la croissance pour mieux comprendre la proposition de décroissance que Timothée Parrique m’explique en détail.

De nos modes de vie au fonctionnement de l’économie, pour lui, tout ce que l’homme a construit, l’homme peut le défaire.

Alors, des limites planétaires à un monde plus juste, comment ralentir ou périr ? 

Je m’appelle Simon Icard et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode ! 

POUR ALLER PLUS LOIN 

• Le site de Timothée Parrique : https://timotheeparrique.com/ 

• Son livre “Ralentir ou périr, L'économie de la décroissance” (Seuil)

https://www.seuil.com/ouvrage/ralentir-ou-perir-timothee-parrique/9782021508093 

TIMECODES

00:00 Introduction

01:38 Étudiant, Timothée Parrique ne pensait pas qu’il allait recommander le système 

02:51 Sa découverte du changement climatique lors de son Erasmus en Suède 

04:34 Le changement climatique est-il un problème économique ? 

06:13 Pourquoi la croissance est à la base de nos politiques publiques ? 

11:16 Y a-t-il une limite (physique) à la croissance ? 

15:10 « La croissance verte est une fable »  

18:26 La décroissance est-elle différente de la récession ? 

21:01 Limiter la publicité permettrait d’aider à ralentir 

22:07 Une économie où on travaillerait moitié moins qu’aujourd’hui 

23:03 Pourquoi la publicité pose un problème selon Timothée Parrique ? 

26:27 La planification économique et ses critères 

29:14 Comment décroître démocratiquement ? 

37:36 La justice sociale

39:46 Les remarques qui énervent le plus Timothée Parrique sur le sujet de la décroissance

44:22 Question bonus : la voix que Timothée Parrique nous recommande d’entendre 

45:21 Merci à Timothée Parrique

Fin 

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À bientôt, 

Simon.

Me suivre :

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Choisir. Dans ce passage de l’épisode 11 de “Ces voix qu’il faut entendre”, l’économiste Timothée Parrique, auteur de “Ralentir ou périr” l’économie de la décroissance, revient sur les critères d’une planification qui conduirait à une société post-croissance et une économie participative et démocratique. Autour de quels critères ? 

Écoutez. 

Si cet extrait vous a intéressé, écoutez l’épisode complet : “Ralentir ou périr - Timothée Parrique m’explique la décroissance” 

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« À quoi on joue ? Quelles sont les règles du jeu ? »

Julien Devaureix, créateur du podcast Sismique, publie “Le Monde change et on n’y comprend rien !”, son enquête pour mieux comprendre le monde aux éditions First. 

L’histoire et la démarche de Julien m’ont interpellé, j’ai voulu en savoir plus sur sa quête et son enquête. 

Aujourd’hui, je reçois Julien Devaureix, il a 42 ans et vit à Lisbonne au Portugal 

Cet ancien salarié de grands groupes internationaux, a travaillé dans le marketing, un jour, il a décidé de quitter cette vie professionnelle pour se lancer dans une quête, ou plutôt une enquête pour chercher à comprendre comment fonctionne le monde, concrètement.

Son enquête, il la partage avec le public, Julien en a tiré un podcast et un livre qui s’appelle « le monde change et on n'y comprend rien ! » 

Dans cet épisode, nous parlons du doute, le doute comme méthode, 

De la physique, des comportements humains et de la nature,

Julien me parle des liens qui existent entre les choses,

De la physique jusqu’à la philosophie, une grille de lecture d’un monde complexe et qui s’accélère ! 

Je m’appelle Simon Icard. Et vous souhaite la bienvenue dans ce nouvel épisode ! 

POUR ALLER PLUS LOIN 

• Lire : le livre de Julien Dauvereix : “Le monde change et on n’y comprend rien ! (Ed. First) 

https://www.sismique.fr/le-monde-change-et-on-n-y-comprend-rien 

• Écouter : le podcast Sismique disponible dans toutes les applis d’écoute et ici 

https://www.sismique.fr/blog 

TIMECODES 

00:00 Introduction 

02:08 Avec quelles lunettes Julien regarde-t-il le monde ? 

Son parcours et ses débuts dans de grands groupes internationaux

03:36 Une prise de conscience, une volonté de comprendre “ce qu’il ne comprend pas”. 

06:28 La place qu’il accorde au doute et à “pourquoi on pense ce qu’on pense”  

11:13 “La pensée systémique, c’est la prise en compte des liens entre les choses”

16:30 Considérer les limites planétaires 

17:57 La métaphore du jeu : “À quoi on joue ? Qu’est-ce qui entraîne le monde et les individus ?” 

24:50 La physique, l’énergie et les dynamiques pour comprendre “ce que le réel nous permet de faire”

31:34 L’accélération du monde et la volonté de puissance dans nos sociétés et chez les individus

40:25 Comment dissiper le sentiment de confusion face aux avis d’experts qui divergent sur les solutions aux problèmes du monde et à celui du réchauffement climatique notamment ? 

46:24 Sur le plan personnel, où en est Julien dans sa quête de sens ?

52:29 Question bonus : la voix qu’il nous conseille d’entendre 

55:00 Merci à Julien Devaureix !

56:20 Fin 

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À bientôt, 

Simon.

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Dans cet extrait de l’épisode 10 de “Ces voix qu’il faut entendre”, Julien Devaureix, créateur du podcast Sismique et auteur du livre “Le monde change et on n’y comprend rien!” revient sur l’accélération du monde. 

Croissance exponentielle de la population, accès à l’énergie, accélération civilisationnelle, mon invité s’est interrogé sur le “moteur de cette accélération” et s’est penché sur “la volonté de puissance” de l’espèce humaine qui se heurte aux limites physiques de la planète. 

Écoutez. 

Si vous avez apprécié cet extrait, je vous propose d’écouter l’intégralité de l’épisode 10 : “Le Monde change et on n'y comprend rien !” - JULIEN DEVAUREIX"

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Ecoutez dans votre appli de podcasts préférée : https://link.chtbl.com/CesVoixPodcast

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TÉMOIGNAGE. Aujourd’hui, je reçois Marie-Clémence Bordet-Nicaise, elle a 35 ans et habite à Dax dans le Sud-Ouest de la France. 

Marie-Clémence est conférencière, entrepreneure engagée et auteure du livre “On ne choisit pas qui on aime” (Flammarion).

Dans cet épisode sous forme de témoignage, on remonte le fil d’une vie qu’elle croyait écrite d’avance, mais qui a été chamboulée par une rencontre et l’amour tout simplement ! 

Après une enfance heureuse dans un milieu catholique traditionnel, elle n’a pas choisi qui elle aime, mais a décidé de “prendre le pouvoir sur sa vie”. Déterminée à faire accepter à sa famille et à la société la normalité des personnes LGBT, Marie-Clémence Bordet-Nicaise ne cesse de témoigner.  Mariage, désir d’enfant, l’actualité de sa vie intime va raisonner avec la vie politique française à mesure que de nouveaux droits seront inscrits dans la loi. 

Écoutez ! 

POUR ALLER PLUS LOIN : 

• Le livre : “On ne choisit pas qui on aime” chez Flammarion 
• https://linktr.ee/mcbordet

TIMECODES

00:00 Intro 

01:28 Bonjour Marie-Clémence Bordet-Nicaise

02:00 L’enfance heureuse de Marie-Clémence dans un milieu catholique traditionnel et très pratiquant.

02:37 Tout se passe comme Marie-Clémence l’imaginait jusqu’au premier jour d’un stage à Paris : une rencontre va changer sa vie, elle s’appelle Aurore. 

06:38 À 20 ans, c’est une sorte de « double vie » qui commence, mais un événement grave va faire naître une volonté de transparence qui ne la quittera jamais plus. 

09:09 Le temps passe, la relation s’installe et Marie-Clémence décide d’annoncer sa relation à ses amis et ses parents. 

13:31 La détermination de Marie-Clémence à faire accepter qu’on ne choisit pas qui on aime et la rencontre d’Aurore avec ses parents.

16:11 Le Pacs : une première étape.

17:07 « Je m’aperçois que l’intime devient politique ».

20:32 Un déclencheur dans sa volonté de témoigner ? 

22:27 Une prise de distance avec l’Église où elle allait tous les dimanches. 

24:37 Le mariage devient légal en France, Aurore et Marie-Clémence décident de se marier, c’est une joie.

26:39 Quelle réaction pour les parents de Marie-Clémence ? 

29:05 Un désir d’enfant « viscéral ». Marie-Clémence se renseigne, ce sera une PMA, en Espagne, c’est elle qui portera l’enfant. 

30:23 La petite Charlie est en route, Noël approche : c’est le moment idéal pour annoncer sa grossesse à la famille. 

33:26 L’actualité de la vie amoureuse et familiale de Marie-Clémence résonne avec l’actualité et le calendrier politique français… En 2021, la France autorisera la PMA pour toutes, mais pour leur 2e enfant, Aurore et Marie-Clémence décident de ne pas attendre, retour en Espagne pour le concevoir.

36:00 Marie-Clémence décide de filmer toutes les étapes de la seconde PMA.

37:00 Comment se passe la vie de famille à 4 aujourd’hui ? 

40:38 Une histoire à la fois intime et politique. Quel chemin la société doit-elle encore parcourir pour l’acceptation des familles homoparentales? 

43:03 Son engagement en participant à la création du ‘Collectif Famille.s”. La création de sa société "Coming Up".

45:08 Question bonus : la voix qu’elle nous conseille d’entendre. 

Merci à Marie-Clémence Bordet-Nicaise !

46:24 FIN

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Pensez à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode. À bientôt !

Simon

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