Design Kafé | Design Café : Arts / Icônes / Portraits / Graphisme / Mode / Décoration / Objet / Histoire / Business / Infos / La Réunion – Détails, épisodes et analyse

Le grand classique. Le produit le plus connu, vendu et copié de l’histoire du meuble !

Dessinée par Michael Thonet en 1859, la N° 14 a été immédiatement identifiée comme étant "LA" chaise de bistrot. Minimaliste dans l’utilisation du matériel et le nombre de pièces qui la composent, six seulement, la N° 14 est le résultat de près de vingt ans de recherche. Simple, flexible et toujours actuelle, elle est considérée comme le premier exemple de design industriel. Sa structure se compose d’éléments en hêtre massif, courbés à la vapeur de façon magistrale. Le dossier et les pieds arrière sont constitués d’une seule pièce de bois. Je vous propose d'en découvrir encore davantage sur cette icone du design en écoutant l'intégralité de l'épisode, (15mn), et devenir incollable sur son histoire !

• Animateur et Producteur: David CHERVET-BRENAC

• Script: David CHERVET-BRENAC

• Enregistrement et post-production: Podcastle

• Contenu marketing : Skrybecast

• Hébergement et Diffusion: Ausha

• Générique : Bam Music

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Imaginez-vous, c’est un matin comme un autre dans une petite cuisine italienne.

Le soleil perce à travers les rideaux, et l’arôme irrésistible du café fraîchement préparé emplit l’air.

C’est un rituel quotidien pour des millions de personnes à travers le monde, et au centre de ce rituel se trouve un objet emblématique : la cafetière Moka Express de Bialetti.

Cette petite cafetière en aluminium, avec son design distinctif et ses lignes élégantes, a révolutionné la manière dont le café est consommé à la maison depuis sa création dans les années 1930.

Mais comment est née cette invention révolutionnaire ?

Quel est l’homme derrière ce succès, et comment cette cafetière est-elle devenue un symbole intemporel de l’art de vivre à l’italienne ?

Je vous dis tout !

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Premier épisode à 4 voix; en compagnie de Adeline, Emmanuelle et Maëva.

Trois professionnelles de la déco et de la transformation des espaces à La Réunion, qui nous en disent plus sur leur travail au quotidien, leurs expériences, leurs méthodes et leurs clients, avec humour et sérieux... Tout ce qu'on aime !

Bienvenue à tous, sur la terrasse du DesignKafé, l’émission du design d’intérieur décomplexé qui n’a jamais aussi bien porté son nom, puisqu’aujourd’hui ce n’est pas une, ni deux, ni trois mais quatre voix différentes dont vous allez profiter pendant une petite heure.

Comme 4 collègues, travaillant dans la décoration et la transformation intérieure, qui discuteraient de leur métier en after-work, de leur journée, de leur semaine, de leur année, devant un verre, autour d’une table et de préférence face à la mer.

La bonne nouvelle c’est que la table est grande, qu’il y a des chaises en plus et qu’elles sont pour vous !

Alors oui bienvenue pour cet épisode spécial et hors-série que j’ai choisi d’appeler Déco-Méraz, parce que je n’ai pas trouvé mieux pour en résumer l’esprit. On va donc papoter de et autour de la déco, du design, et de la transformation intérieure, au travers de sujets bien précis.

Avec trois complices que je suis très heureux d’accueillir et de vous présenter.

1. La reine des latte macchiato, et entre autres des ambiances déco nudes mais pas fades … et surtout l’une des premières décoratrices d’intérieurs à avoir compris et pris à bras le corps les réseaux sociaux pour booster sa visibilité à La Réunion comme au-delà, Maeva de Eclipse Décoration, a choisi de nous parler d'Instagram, (entre autre), qu'elle utilise au quotidien pour exercer son métier et le partager avec le plus grand nombre.

1. Celle qui ne doit sa participation à l’émission qu’à l’indisponibilité de son acolyte à peluche Jean-Bob, retenu pour affaire… Et qui a bien voulu le remplacer au pied levé… Évidemment ceci est faux parce que j’adore le grain de folie qu’elle plante dans chacune de ces réalisations, Emmanuelle de LAKAZKIRI Décoration est avec nous également … Et elle nous propose de réfléchir à une notion fondamentale pour les professionnels et leurs clients : le "beau" en déco ! Tout un programme ...

1. Et enfin, c’est une pépite aussi, notamment des lasagne … Aussi bonnes que rarissimes car promises depuis le mois de juin alors que je les attends toujours. Preuve que je suis patient, confient et surtout pas rancunier… Sa voix devrait vous rappeler l’épisode numéro 2 de l’émission où elle m’avait fait le plaisir d’être ma première invitée. Adeline BLOT-VIDAL de l'Atelier BELLISAE, est de nouveau parmi nous et elle nous explique comment elle procède pour facturer ses prestations mais aussi et surtout ; comment elle travaille, quels sont les outils qu'elle utilise et combien ça coute d'exercer le métier d'architecte d'intérieur. Nous permettant ainsi de faire le lien évident avec le tarif de nos honoraires pour les clients.

Un épisode "spécial métier" donc, de la décoration et de l'architecture d'intérieur avec 3 professionnelles reconnues de La Réunion et qui n'ont, pour autant, pas oublié de rester elles-mêmes et de laisser libre cours à leur espièglerie comme à leur bonne humeur.

Croyez-moi, vous aller vous régaler !

Instagram de Maeva de Eclipse Décoration

Site Internet de Eclipse Décoration

Instagram de Emmanuelle de LaKAZKIRI Décoration

Facebook de LaKAZKIRI Décoration

Instagram de Adeline de BELLISAE Atelier

Facebook de BELLISAE Atelier

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Y en a marre des décorateurs, des décoratrices et des architectes d'intérieur !!!!

Pour qui ils se prennent ? Sont-ils légitimes ? Sont ils de vraies partenaires facilitateurs ou bien des gourous et des escrocs ? Quelle réputation ont-ils et est-elle justifiée ou méritée ? Je vous en parle avec objectivité😉 et ça peut piquer ...

Pour ce nouvel épisode, j’avais envie de bousculer un peu le format du "DécoKafé" classique en abordant un sujet que beaucoup prennent grand soin à éviter alors qu’il constitue l’un des marqueurs fondamentaux de ce que peut être la relation entre un décorateur d’intérieur ou un architecte d’intérieur et ses clients, bien au-delà la perception que peut avoir la population en général, de ces professions récentes. 

Alors je vous le dis tout de suite ça va un peu grincer des dents et des oreilles dans la déco parce que cette perception n’est pas toujours flatteuse ni valorisante.

Il y a encore et toujours une quantité, minime , en tous cas je l’espère, qui stigmatise la partie immergée d’une profession qui s’efforce de faire correctement son travail dans le respect de ses interlocuteurs, de ses partenaires et de la loi. 

C’est l’arbre qui cache la forêt.
Un peu comme les employés de mairie qui ne font rien de leur journée, les mécanos qui sont des escrocs, les profs qui sont toujours en vacances ou encore les notaires qui s’en mettent plein les poches. 

C’est un cliché ! Mais vous savez comment un cliché devient un cliché ? Tous simplement parce qu’il arrive toujours un moment ou les exemples sont suffisamment nombreux et concordant pour aboutir à une analyse qui peux dériver vers une généralité « augmentée ». 

Ceci étant dit, une fois que l’on  a établie et rappelé ce garde-fou, on ne peut pas non plus nier que des comportements critiquables existent dans le secteur de la décoration professionnelle. 

Et il faut en parler ici dans ce podcast ou ailleurs. Ne serait-ce que, tout simplement pour tenter de les corriger si c’est possible mais aussi et surtout pour les prévenir plutôt que d'avoir à les guérir et enfin pour les opposer aux professionnels qui, a contrario, honorent la profession par leur attitude exemplaire. 

En bien figurez-vous que pour les décorateurs et les architectes d’intérieur, ce moment est arrivé! Ces professions sont maintenant suffisamment anciennes et leur exerçants suffisamment nombreux pour former une base conséquente et propice à l’analyse sociologique des profils et des comportements. Notamment à partir des retours-clients et du feed-back des partenaires. 

Voilà, vous avez le postulat de départ... 

Alors essayons à présent de résumer la perception que leurs clients et leurs partenaires ont des architectes d’intérieur et des décorateurs… à La Réunion mais aussi partout ailleurs dans l’hexagone.  

architecte décorateur business entrepreneuriat 

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Matthieu HAGEL ; une personnalité haute en couleur et qui n’a pas la langue dans sa poche.

Autoproclamé, « Grand Manitou » des décorateurs et des architectes d’intérieur ; il est reconnu et accepté comme tel par un grand nombre de professionnels de la déco, dans ces deux catégories, qui n’en forment d’ailleurs sans doute qu’une seule !  Alors Matthieu... Ange ou démon ? Éléments de réponse dans cette interview sans filtre !

Si vous en faîtes partie, cet invité ne devrait pas être un inconnu pour vous… Dans la vraie vie ou sur les réseaux sociaux.

Que vous appréciez ces interventions, son franc parler et ses prises de position ou pas. 

Dans les deux cas ; cet épisode ne devrait pas vous laisser indifférent ...

En revanche, si ce nom ne vous dit rien, parce que vous n’êtes pas dans le secteur de la décoration ni de l’architecture d’intérieur mais que ça vous intéresse ou même que vous souhaitez avoir un regard objectif sur ce qu’est l’entrepreneuriat aujourd’hui et plus encore ce que signifie être à son compte en 2023, que ce soit dans la transformation de l’habitat ou dans tout autre domaine, alors je vous invite grandement à faire sa connaissance et à écouter nos échanges. 

Au travers de cette conversation sans filtre Matthieu, ( HAGEL ),  joue pleinement - c’est le mot qui convient dans la forme - son rôle à la perfection, en assumant sa personnalité de façon complètement décomplexée.  

Mais aussi dans le fond ; par son analyse de la deco, de l’archi intérieure et plus précisément encore des métiers qui s’y rattachent, en nous dressant un portrait à la fois lucide et sans concession de la réalité du secteur tout en étant, vous l’entendrez ; bienveillant et  surtout relativement optimiste sur l’avenir de ce secteur  d'activité. 

Motivations de départ, formations, mythologie de la profession en général et de l’auto - entreprenariat en particulier , réseaux sociaux, organismes régulateurs, féminisme déplacé et féminisme bien placé, abus des pratiques commerciales ou éthique dans leurs exercices, nous allons parler de tout avec sincérité et humour toujours. 

Mais nous allons aussi parler de lui évidemment - en sa qualité de chef d’entreprises - en essayant  de découvrir ce qui se cache sous la coiffe du "Grand Manitou", ce qui fait son succès, les doutes qui l’assaillent encore peut-être, le cap ultime qu’il se fixe pour lui et bien entendu pour MH-Interior, (ex MH-Déco), son entreprise principale. 

Parce que oui, quand on s’appelle Matthieu HAGEL, que l’on a fondé il y a plus de 10 ans et que l’on dirige, entre autres et depuis le début, MH-Déco puis MH-Interior ; la première franchise de décoration intérieure qui compte plus de 60 agences et autant de collaborateurs, partout en France, on a forcément des choses à dire et à partager au micro de Déco Kafé… 

Notes de l'émission:

· Le site internet de MH-Intérior : https://www.mh-interior.fr/  

· Le compte Instagram de Matthieu HAGEL  

· Le compte LinkedIn de Matthieu HAGEL 

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Aujourd’hui je reçois à mon micro ; Valérie FONTAINE, artiste-designer graphique et créatrice de Susie et Compagnie, une entreprise réunionnaise qui à le double objectif d’accompagner les nouveaux entrepreneurs et principalement les nouvelles entrepreneuses à définir leur identité et leur image de marque au travers de supports visuels de communication.  

Mais aussi et surtout de créer pour le grand public et pour les professionnels des illustrations sérigraphiées déclinables quasiment à l’infinie sous forme de posters, de toiles, de papiers peints et bien sûr de décors panoramiques muraux. Une chouette nana que je suis heureux de vous présenter.

Si vous pensiez que seules les marques hexagonales ou la grande distribution locale était en mesure de vous proposer ces applications déco, c’était sans compter sur cette pépite-pei, connue et de plus en plus reconnue pour sublimer de façon unique et personnalisée nos intérieurs…  

Qu’ils s’agisse de votre lieu de travail, de votre commerce ou encore de votre maison.  

Dans cette conversation très décontractée ; Valérie se dévoile en nous parlant tour à tour ; de
son parcours, de des influences déco, de son entourage et de son travail dans le design qui la passionne. Avec comme fil conducteur très solide ; ce désir sincère et assumé d’accompagner ces clients en créant avec eux du bien avec du beau. 

Résultat... ?
Des visuels et des applications de qualité qui procurent un sentiment de voyage et d’évasion qu’on ne se lasse pas d’admirer, tant les histoires qu’ils inspirent nous transportent - chacun dans leur singularité - vers un monde tropical, ouvert et magique. 

Entrons ensemble dans l’univers déco et merveilleux de Susie et Compagnie…  

• Le site internet de Susie & Compagnie 

• Le compte Instagram de Susie & Compagnie 

Les autres marques de papiers-peints citées dans l'épisode:

• Ananbô  

• Ernest WallPaper  

• Pepermint WallPaper 

Les personnalités et les enseignes citées dans l'émission:

• Brice Bataille 

• Corinne Salvan Mareux 

• Bellisae 

• Marret 

• Freepik 

• dcb_interiors_design 

• Design_Kafé_Podcast 

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Le Juicy Salif est un paradoxe à lui tout seul... Comment un presse-agrumes peut-il être aussi inutile que célèbre et séduisant ? C'est simple; il est irrésistiblement sexy !

Il y a des objets dont le design est réussi en tous points, c’est-à-dire qu’il sont fonctionnels, tout en étant séduisants et qu’en plus ; ils parviennent à être produits pour un tarif de vente publique abordable et ce malgré la bonne qualité de leur fabrication et la renommée de leur auteur. 

Il y en a évidemment qui sont complètement ratés. Esthétiquement, ils déplaisent au plus grand nombre, ils ne fonctionnent pas ou très mal ou alors ils sont hors de prix… Et parfois même, on retrouve ces trois échecs dans un seul et même produit ; comme pour illustrer l’exemple type de ce qu’il ne faut pas faire en matière de création.

Et puis il y a ceux que j’appelle les hybrides : 

Les très pratiques mais pas vraiment beaux ou carrément et particulièrement laids. 

Les fabuleux mais qu’on ne peut s’offrir sans casser son PEL, son assurance-vie ou emprunter sur 15 ans… 

Les créations pas chères mais qui ne servent à rien. 

Et les beaux objets, (même si c’est subjectif), qui sont donc sexy mais inutiles ou dysfonctionnels… 

Une fois encore on peut considérer que -d’un point de vue philosophique- le beau n’a pas forcément pour vocation d’être utile. C'est surtout valable en déco ...

Mais en design, quand même, l’esthétique doit habiller un minimum la fonction. 

Il en existe des tas dans cette catégorie. Le monde du design regorge d’éditions qui auraient pu s’en tenir au stade du prototype, voir même du dessin, pour certains d’entre eux, sans risquer pour autant, de manquer au monde. 

Mais il y a des exceptions, des objets qui prouvent à chaque fois que l’on s’en sert, qu’ils ne fonctionnent pas et qui pourtant nous ravissent d’un simple regard et que l’on est même heureux de posséder. 

Et qui démontrent alors qu’il est possible de ne pas fonctionner tout en étant utiles… Voir nécessaires. 

À tel point que, comme pour notre objet du jour, nous en sommes arrivé à l’acheter, tout en sachant pertinemment, avant de le faire, qu’il ne fonctionnera pas ! 

Peut-être parce qu’on se croit plus malin que les autres consommateurs et que l’on pense que l’on réussira là où le reste de l’humanité a échoué ? 

Possible… mais c’est perdu d’avance. 

Au mieux, il fonctionnera un peu ou parfois mais quelle importance ? 

Que vous finissiez par ne plus vous en servir… tant que vous prenez toujours autant de plaisir à l’avoir et à le regarder ! 

Nous sommes nombreux à posséder une lampe déco que l’on n’allume jamais, un t-shirt au design que l’on adore mais que l’on ne porte plus…  

Ou encore, nous y sommes, un presse agrume en forme de fusée, prête à décoller depuis la base aérospatiale de votre étagère ou de votre plan de travail de cuisine … 

Qui ne décollera jamais d’ailleurs, pas plus qu’il ne parviendra à vous préparer à la perfection votre jus d’orange matinal… 

Et pourtant ; nous somme plus de 2 millions deux cent mille à l’avoir acheté depuis sa création il y a 33 ans … 

• Est-ce parce qu’il est beau ? 

• Parce qu’il est intrigant ? 

• Inspirant ? 

• Ou parce que son design est signé Philippe Starck ? 

D’où vient donc le pouvoir envoutant du Juicy Salif, édité par la maison Alessi en 1990, célèbre marque italienne d’ustensiles culinaires? 

Serait-il l’illustration parfaite de la naïveté commune de tous les acheteurs que nous sommes ?

Ou la preuve intangible que - comme chez l’être humain - en matière de design aussi, comme en déco, le physique peut parfois aveuglément et largement prévaloir sur les qualités du sujet ?

• Site de l'éditeur ALESSI 

• Site du designer Philippe STARCK 

Et si on parlait sérieusement et objectivement des SOLDES ? Je vous dit tout et sans détour !

Chose promise, chose due… 

Après vous avoir présenté et expliqué les subtiles éléments qui composent un prix pour que vous puissiez « bien » acheter et en même temps avoir sondé votre psychologie pour comprendre pourquoi vous le faites ou pourquoi vous ne le faites pas…  

On continue à jouer avec les étiquettes aujourd’hui en apprenant à bien les lire et plus précisément avec celles que l’on préfère par-dessus toutes et que l’on retrouve 2 fois par an pour notre plus grand bonheur… Les étiquettes des SOLDES et plus précisément encore celles de la déco ! 

On les adorent, elles sont si belles, elles sentent bon, elles sont pleines de promesses. Elles qui sont capables de nous faire acheter des choses dont on ne savait pas du tout que nous les voulions ou que nous en avions besoin avant même de les voir remisées à -50%… 

Et ce sentiment si doux de se dire que cette remise a été évidemment et spécialement décidée rien que pour nous, n’a finalement pas de prix !!!! 

Notre carte bleue commence à s’émoustiller 15 jours avant leur lancement et pourtant… Que savons-nous réellement de cette période de vente qui évidemment ne date pas d’hier ? 

Elles qui vous procurent l’adrénaline et la satisfaction d’avoir effectué une bonne affaire et qui permets aux commerçants de réaliser un volume de vente qui peut représenter jusqu’à 30% de leur chiffre annuel ?  En déco comme dans pratiquement tous les secteurs.

Et ben si vous êtes comme moi… pas grand-chose au final et même pire parfois ; ce que l’on prenait pour acquis se révèle en fait appartenir à la grande famille des légendes urbaines. 

Je vais vous faire une confidence, en préparant cet épisode, ma volonté était de vous accompagner au plus près en collant à l’actualité et c’est toujours le cas. Puisqu’à l’heure où j’enregistre, les soldes design sont toute proche à La Réunion. Et sans doute sommes-nous en plein dedans au moment où vous l’écoutez. Je pense aussi à ceux qui auront raté le coche, en choppant l’émission des mois plus tard et pour qui ce n’est pas grave puisque les infos seront toujours bonnes et valables pour toutes les prochaines soldes déco. 

Au moment où j’écrivais le script donc, je me suis, comme pour chaque sujet traité ici, plongé à corps perdu dans diverses sources d’information. Articles de presse, reportages en tous genres, code du commerce dont je me suis tapé tous les articles concernés, l’ensemble de leurs tirets respectifs et pour chaque tirets, tous leurs alinéa… ça m’a épuisé ! Mais également passionné. Ça m’a rapellé mes études de droit. 

Et je me suis rendu compte de trois choses : 

· Je savais des trucs 

· Je ne savais pas des trucs 

· Et y a des trucs que je croyais savoir et qui en fait étaient faux ! 

Mais alors comment synthétiser toutes ces précieuses trouvailles et animer un podcast design et déco informatif et utile sur les soldes, sans être chiant ?  

Comment rendre les informations abordées, valables à la fois pour le design et la déco, puisque nous sommes dans DécoKafé mais également facilement transposables à n’importe quel autre secteur marchant ? 

Et ben continuons à être franc; ce n’est pas facile !

Mais je peux le faire ! En tous cas, je vais le tenter… Et quelque chose me dit que cette année, les vendeurs et les vendeuses déco qui vont se retrouver en face de vous auront plutôt intérêt à bien préparer leur discourt et leurs arguments et à rédiger des étiquettes « aux petits oignons » car si la plupart d’entre vous n’ont pas besoin de moi pour être de véritables accros du shopping, j’endosse la mission de faire de vous, en complément, de véritables experts des SOLDES décoration !

A La Réunion et ailleurs …  

Acapulco, ça vous parle ? Mais non, pas la ville balnéaire située sur la côte Pacifique du Mexique mais plutôt du fauteuil mythique qui porte son nom... Vous ne connaissez que lui en plus mais moi, je vous en dit encore davantage !

Quoi de mieux pour faire durer le plaisir, qu’une période de vacances touchant à sa fin pour parler aujourd’hui d’un objet qui, à la seule évocation de son nom, transforme n’importe quel déco austère et grisâtre en destination de voyage idyllique ? 

Car oui, je suis de ceux qui sont convaincus que le design -en plus de faire réfléchir en ouvrant les esprits, de rendre des services ou de faire plaisir- permet aussi de s’évader vers des contrées lointaines et exotiques ; qu’elle soient scandinaves pour un réunionnais ou même tropicales pour un suédois.

C’est donc ainsi, qu’à défaut de pouvoir se dépayser aussi souvent qu’on le souhaiterait, surtout lorsque l’on voit le prix des billets d’avion pour voyager à partir de notre île en ce
moment… que l'on peut néanmoins s’évader, par exemple, en se lovant dans des créations design qui nous transportent loin… 

Malgré tout ; c’est parfois compliqué de se projeter si on n’a pas une forte capacité à s’extraire
mentalement et temporairement pour s’imaginer ailleurs… 

Mais il y a depuis toujours un fauteuil qui fonctionne très bien en déco avec moi, entre autre, et avec d’autres et qui accompli cette mission avec succès … 

Le fauteuil ACAPULCO… 

Ah ben vous voyez ? Rien qu’en prononçant son nom, nous avons déjà la sensation d’être en salle d’embarquement… 

Alors, le temps d’un vol « petit courrier », je vais vous raconter l’histoire de ce fauteuil venu tout droit d’Amérique Latine Centrale…  

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Et si on parlait enfin de l'argent dans la déco et le design ? Et plus précisément de la façon dont sont calculés les prix des produits.

Dans cet épisode déco, on sort les cahiers de vacances, en mode chapeau de paille et lunettes de soleil et on démarre tout de suite avec le sujet du Déco Kafé numéro 4 ! 

On va faire un peu de vocabulaire, de philosophie et évidemment des maths… mais niveau cours élémentaire. On a dit cahier de vacances ou pas cahier de vacances ?

Parce qu’on va parler prix aujourd’hui. Du prix en général et dans le secteur de la déco et du design en particulier. Et on va voir qu’un prix justement ça se défini à la fois de façon théorique, mathématique mais aussi émotionnelle en faisant intervenir des critères aussi bien objectifs que subjectifs. 

On va expliquer et démystifier la notion, décomplexer les réactions et se déculpabiliser une bonne fois pour toute. 

Lorsque vous vous retrouvez face au prix qu’il s’agisse soit d’un bien, soit d’un service et surtout devant un objet de déco ou un mobilier de design, vous réagissez sans doute et le plus souvent de façon bivalente, Soit c’est cher, soit ça ne l’est pas. 

Et bien laissez-moi vous dire que bien que fréquente cette réaction n’est pas juste. 

Parce qu’elle laisse supposer que vous souhaitez acheter un prix ors, on vient de le dire, vous vous apprêtez à acheter un bien de déco ou un service de design. 

Je suis plus à l’aise avec les clients et les acheteurs qui poussent leur réaction face à un tarif en motivant leur sentiment par un complément d’information du style « c’est cher pour ce
que c’est » ou bien « c’est trop cher pour mon budget » parce qu’au moins l’avis est motivé. 

C’est un peu comme le « c’est beau » ou le « c’est moche », vous voyez ? 

Cher est un adjectif évaluant et non déterminant… Je vous l’ai dit qu’on allait faire un peu de
français.  

Cher est aussi une artiste de 77 qui croit qu’elle en a 20 et ça, en revanche, ça n’a pas de prix… Car c'est une prouesse du design 😂

On y reviendra d’ailleurs sur cette expression: « ça n’a pas de prix »… qui n’est pas du tout
anodine. 

Quand on dit: "c’est cher", c’est souvent par rapport à quelque chose. 

Parce qu’en fait on confond le tarif et la valeur qui sont deux notions souvent liées mais aussi très indépendantes.=, surtout en décoration.
L’un étant la traduction de l’autre. On chiffre une valeur et cette valeur de vente que l’on donne à un objet ou à un service peut vous sembler disproportionnée par rapport à l’idée que vous vous faite de cet objet ou de ce service en fonction de vos propres valeurs à vous, de vos connaissances sur l’objet de votre achat, ainsi qu’à votre échelle de valeur… 

C’est cher n’est pas un avis, c’est une réaction, parce qu’on ne veut pas, qu’on ne peut pas ou bien qu’on ne comprend pas. C’est un jugement arbitraire si il n’est pas argumenté. 

Et cette valeur, qu’on la considère du côté vente ou bien du côté achat et ben c’est elle qui dans les faits, est à la fois objective, concrète et palpable mais aussi subjective, émotionnelle,
impalpable, voir même irrationnelle. 

Et pour ce qui est de la valeur marchande, ce n’est pas parce que c’est cher qu’on ne peut pas se l’offrir mais plutôt parce qu’on ne peut pas se l’offrir que ça parait cher… Là c’est un peu plus philosophique mais tout est philosophique dans la vie, selon moi. Notamment en DESIGN.

Avant de juger la valeur d’un produit ou d’un service en le qualifiant de cher il faudrait s’intéresser à ce qui fait vraiment sa valeur... 

On y va ? C'est parti ! 🚀

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